| Sujet: [quête camarde] Exile eden ( à la rescousse des Griffons) [Black-Dark/ Celestia/ Night Sky] Ven 13 Mai - 9:00 | |
| Equestria, terre d’harmonie et de joie, de splendeur et de beauté. Enfin, cela c'étaient auparavant, avant que la guerre ne survienne et ne fasse des ravages parmi ces terres de paix. Nous étions maintenant séparés en six nations, enfin presque: les récents événements de dame nature en avaient rayé une de la carte. La seule nation considérée comme “neutre” et terre d'accueil des habitants n’ayant pas une envie particulière de prendre part au combat avait perdu cela dirigeante. Elle s’était sacrifiée non seulement pour son peuple, mais était la seule à vouloir essayer d'arranger la situation de ce grand cataclysme.
Les terres avaient tremblé! Les foals Montain avaient craché du feu, causant de multiples dégâts et de nombreuses morts. Sans parler des cendres qui allaient nous rendre la vie impossible à nous autres agriculteurs. De plus, les Élémentaire de feu firent de sacré dégât à ma grange lors de leur passage. J' étais donc afféré aux multiples réparations de ma ferme. Quand soudain, je me fis interrompre par deux espèces de crevettes en armure dorée. Je pris ma grosse voix, pour bien leur montrer que je n'avais aucunement le temps de leur accorder quelques secondes. “Arf, que me veulent les larbins de Sa Majesté .” Le poney tout gris avait un sourire, apparemment il en savait plus sur moi que ce que je ne le pensais. Il prit la parole et d'un ton énergique commençait par un: “Bonjour cher monsieur, je présume que vous êtes Black-Dark, nous avons un message assez important et que vos principes ne peuvent pas refuser.” Il s'arrêta et fit signe au deuxième pégase de dérouler un rouleau de papier. Je m’assis sur mon toit, posant le marteau et prêt à l'écouter: “je dois dire que vous avez captivé ma curiosité, je vous écoute!” Je le vis prendre sa respiration avant d'entamer son discours. Il avait intérêt à être assez convaincant, sinon je lui referais ravaler son parchemin et le renverrai illico presto chez Celestia, la queue entre les sabots.
“Comme vous le savez, le volcan endormi sous les foals s'est réveillé! En se faisant, il dévasta complètement la capital griffonne, qui soit dit en passant faisait partie du solar empire. Les griffons se sont entassés à quelque 350 km de là, dans un camp de fortune. Il suffit de la moindre querelle et c'est la baston générale, de plus les réserves de nourriture que la princesse apportera seront minimes. C'est pourquoi nous réquisitionnons vos talents de traqueurs! Avec un tel palmarès” dit-il sur une petite aire hilare tandis que je le fixais avec mon regard critique “ vous ne pouvez que bien vous en sortir. Vous devez partir dès que possible avec tout votre matériel nécessaire. La route est longue et difficile, mais avec un bon rythme de trot… En quatre jours, vous devriez y arriver! Sachant que la princesse partira sûrement demain à l'aube.” je baissai mes oreilles et de ma plus petite voix, je sortis : “et si je refuse!” À ce moment, je tapai du sabot mes tuiles sur lesquelles j'étais assis. Le grand pégase grisâtre, s'envola, se rapprochant de mon oreille gauche et me chuchota “je crois que vous avez deux trois incidents de parcours qui ne vous permettent pas de refuser ce contrat et pour le reste, vous vous arrangerez avec Celestia elle-même sur place! Elle y sera présente ainsi que son élève… Night sky!” À l'énoncer de ce prénom, je retins ma respiration. Il paraissait que l'élève de la grande et puissante dame du soleil était une enclume plus qu'une aide. Puis, je laissai échapper un grand soupire. Même si de manière indirecte, je jugeais Celestia responsable de cette guerre, les griffons n'en ont pas à en subir les conséquences. C'est avec mon regard hésitant et ma voix indécise que je leur répondis positivement. Que j'allais de ce pas, partir en direction du misérable camp de fortune, accompagné de mon célèbre compagnon canin et quelque piège pour le moyen gibier. “Dite à la princesse que je serais là-bas dans les plus brefs délais!” C'est sur ces derniers mots que les deux soldats s'envolèrent pour rejoindre canterlot et que je descendis de mon toit. J'appelai mon loup, je courus dans tous les sens pour rassembler mon matériel! Tantôt à gauche tantôt à droite, je perdis, beaucoup de temps à me perdre pour préparer tout ce don j'avais besoin, mais j'étais ainsi fait: désordonné et bordélique.
Une bonne demi-heure plus tard, j'avais enfin récupéré tout mon bric-à-brac pour cette mission “de sauvetage”. Il y avait juste, une chose qui me tracassait: comment notre célestia avait eu vent de mon cher moi! Comment avait-elle pu me connaître et me choisir? elle a sûrement des dizaines de sujets dix fois plus loyaux à la couronne que ma pauvre personne! Fin, bref, passons pour le moment, je devais me mettre en route sur les terres dévastées d'equestria en direction du camp, les questions se poseront plus tard. S'est alors, la tête pleine de questionnement que je me mis en route avec tout mon chargement qui reposait dans un chariot que je tractais et ma carte d'equestria. Je doute fort qu'elle soit parfaitemen,t exacte vu les circonstances, mais elle ne me sera pas d'aucune utilité. Ce que m'avait dit le garde solariste était vrais: la position qu'il m'a indiquée se trouvait à 350 km. Il ne fallait pas traîner pour arriver à temps.
La route était pénible, le paysage spécialement dévasté me donnait des frissons. Cette fois s'est claire, cette nation ne ressemble plus à ce qu'elle était jadis. Les terres verdoyantes et la végétation luxuriante avaient laissé place au désert, arbres brûlés et herbes jaunâtres. le ciel était gris, gris de cendres, elle était notre ennemi numéro un en ce moment, elle était la cause de bien des choses dans ce bas monde à présent. La température générale était en chute libre, on manquait de soleil et cela personne ne savait pour combien de temps. J'avais déjà parcouru un certain nombre de kilomètres, trois jours de marche pour être précis. La première nuit, je l'avais passée près d'un cimetière, ce fut assez dérangent de voir que pendant toute la nuit, le cirque des charrettes remplies de corps inanimé venait se décharger dans les fosses communes sans interruption! Mais il le fallait, nous ne pouvions nous permettre de les laisser à l'air libre au risque de nous retrouver avec des épidémies de peste ou autres maladies du genre. Nous avions déjà assez à faire avec cette catastrophe de mère nature!
La nuit du deuxième jour de voyage fut plus calme et plus tranquille. J' avais profité de mon campement pour chasser deux trois petites proies, telles que lapin et autres gibiers de la sorte qui n'avaient pas encore fui la région. Je pris le temps de planifier aussi ma dernière journée de marche, le troisième jour, je voulais marcher mes 80 km puis repos pendant huit heures et finir les 120 km d'une traite, ce qui normalement me ferait arriver chez les griffons pour l'heure du repas de midi du jour d'après mais cela, c'était sans accrocs… ses derniers pas seront sûrement de nuit, il ne fallait pas que je me perde! Si l'on regardait bien, au fond, dans l'obscurité de la colline, placé à 190 km de là! On pouvait apercevoir des petites lueurs. Sûrement les feux que les griffons faisaient pour se réchauffer la moindre, on ne peut pas dire qu'il faisait chaud! Même moi qui d'habitude dormais sans rechigner à la belle étoile, je dois avouer que, là, j'y avais réfléchi à deux fois.
Cette fois, on y était. Mes sacoches sur mon dos et ma charrette attelée, je commençais les dernières heures de marche nocturne! Je m'écriais alors ceci, en gage de réconfort pour le dur effort accompli durant ces deux trois derniers jours: “LES GRIFFONS ME VOILÀ”J'avais quelque peu la tête dans le cul au départ, mais je fus tellement excité à l'idée d'avoir effectué 350 bornes en moins d'une semaine. Mais au fur et à mesure que je me rapprochais du camp, je me rendis compte que la tâche allait être plus ardue. Que la vraie aventure allait commencer dès la fin de cette marche. il y aura la princesse là-bas. Sachant que je ne savais pas si j'avais bonne presse au sain la cour de canterlot. il ne faudrait donc aucun faux pas de ma part en sa présence.
Je levai la tête, plus que quelque mètre à gravir pour atteindre le haut de la colline! Plus que quelque mètre avant une certaine vision d'horreur et surtout! Plus que quelque mètre à tiré cette foutue charrette qui du reste vint de perdre une de ses roues! Une fois mon but atteint, je m'empressais de me défaire de l'attelage qui me tenait prisonnier de mon chargement et me secoua de long en large en faisant des grands battements d'ailes. Je fis ensuite un rapide tour du camp, aucune trace de la princesse Celestia. Je poussai un petit soupire de soulagement. Rien qu'à l'idée qu'elle allait venir ne me faisait angoisser. Il n'y avait que des griffons affamés et morts de froid, ils me regardèrent tous du coin de l'oeil, mais aucun deux ne vint vers moi pour engager la discussion! *Décidément ce peuple est bien froid* me dis-je au plus profond de moi-même. Je décidai de prendre les devants et d'en interpeller un au hasard. Mon regard posa sur un griffon tout noir, il avait l'air moins affamé que les autres et en meilleur état. Je lui lançai alors de ma voix rauque et fatiguée en le pointant du bout de mon aile. : “hé toit là-bas, ... oui toi le griffon noir, viens vers moi s'il te plaît.” il me regardait avec une tête toute terrorisée toute en se dirigeant vers moi et me glisser un tout petit : “Bonjour monsieur, avez-vous besoin de mon aide pour un quelconque problème?” je fus étonné par sa courtoisie, je connaissais le peuple Griffon pour son impolitesse et sa froideur de vivre. “oui, pourriez-vous me dire si vous avez une réserve de nourriture.” il me regarda et prit une mine toute déconfite “on a épuisé nos réserves depuis hier monsieur. Puis-je partir maintenant ?" je lui fis signe que oui, il pouvait s'en aller.
La situation était plus grave que ce que je le pensais… les griffons n'avaient plus de nourriture et il y avait des cas de dysenterie dans le camp. Il était sale, insalubre même. J'avais pu remarquer que les créatures mi-oiseau mi-lion faisaient leurs besoins naturels à même le sol. Ce n'était plus acceptable, il fallait que je fasse quelque chose, de plus bonjour les odeurs. Ni une ni deux, je retournais verre ma charrette, je sortis une pelle et allai creuser une tranchée un peu en retraite de la base. Une fois cela terminé, je pris une allure rapide et passai dans le camp en hurlant ces quelques mots pour le moins explicites: " cacas et pipi sont priés de se faire dans la tranchée à l'ouest du camp. L'hygiène vous en remercie!” Vingt petites minutes plus tard, le tour avait été bouclé et mon annonce s'était bien répandue. Maintenant, je pouvais entamer un petit repérage des alentours, pour trouver les meilleurs lieux de chasse.
Il était dix-huit heures maintenant. J'avais eu le temps de repérer deux forêts à moins de 60 km et un cours d'eau, dans les environs, j'avais survolé la région en grande hâte et sans aucun chargement, même Snow était resté à Griffin camp. Je savais donc maintenant où ce situaient les meilleurs endroit pour ravitailler les réfugier, je me remettrais au travail dès que je me serais reposé un peu. Je fus donc de retour sur la colline des malheureux. Une grande fatigue dans les sabots et les ailes, la journée avait été bien remplie. J'avais fait tout ce qui était à m'a portée! Maintenant, il ne manquait plus que la princesse et sa délégation pour continuer ce que j'avais commencé. Je décidai alors de piquer un petit somme en attendant sa Majesté, qui de toute façon ne serait pas là de sitôt. Appuyer contre ma charrette le chapeau sur mes yeux. Entourer d'une grosse couverture, je me mis à dormir à poing fermé. Si l'on tendait l'oreille, l’on pouvait entendre des ronflements parsemé de petits gémissements! *couleur de texte attribué à: Black-Darklarbin de la princessele griffon- en résumer!:
Black se fait un voyage de 350 borne. il évalue la situation à son arrivée en faisant une visite du camp (il trouva des cas de dysenterie . il creuse des latrines rustique et part en repérage pour sa future chassse. puis s'endort.
- Déclaration officielle:
Je déclare donc, La camarde solariste ouverte...
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