| Sujet: Dans la peau d'un prisonnier [ouvert à toute personne concernée] Dim 13 Mar - 9:42 | |
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Bon, je me doit juste de rappeler sou quelle condition ce rp doit être fait. je vais donc citer deux trois règle m'ayant été imposé à moi et à Tous ceux qui voudront y participer. 1) ce rp doit raconter mes journée de travaux d'intérêt généraux, mes journée en prison. 2) Il doit contenir de ma part au moins 3'000 mots 3) Vous pouvez y participer, pour au temps que cela aie un rapport avec le rp! ATTENTION, vous devrez aussi avoir un minimum de 3000 mots. (sinon ce ne serait pas drôle XD) 4) sur ce, place à l'histoire. 5) voici les liens des rps en lien avec celui si: https://equestrianations.forumgratuit.be/t1172-poudre-d-escampette-quete-binome-obscur-black-terminee
https://equestrianations.forumgratuit.be/t1212-proces-de-black-dark-la-seance-est-ouverte-prive-supernova-obscur-luck-et-black-dark
Dans la peau d'un prisonner
J'étais assis, les ailes repliées, la tête penchant vers le bas et je grattais le sol du bout de mon sabot; ceci montrant mon pic de nervosité. Posé dans l'ombre de ma cellule, réfléchissant sur mes dernières actions ayant causé ma perdition!
Tout s'était passé si vite, il n'y eu qu'un très court laps de temps entre mon combat contre mon vieil ami et mon jugement. Le procès se déroula presque sans accroc: si on ne prenait pas en considération ma petite saute d'humeur, qui causa la démolition d'un pauvre pupitre en bois de chêne. Le verdict avait été assez vite rendu: deux mois de travail d'intérêts généraux et une interdiction d'entrée sur le territoire Lunariste à durée indéterminée. Suite à cela, on m'avait amené en cellule, celle qui pour un bon bout de temps serait ma "maison". Autour de moi, il n'y avait aucun prisonnier tout étaient vides. À croire que j'étais trop à risque de foutre le bordel. Dans le même sens, je me demandais où est-ce qu'ils avaient bien pu stationner mon loup.
Pour le moment, je devais attendre le garde qui devait être en quelque sorte mon chef durant ce séjour de "vacances". Temps qu'il ne se montre pas, je serais bloqué en cellule et là, le procès s'était déjà terminé depuis au moins une semaine. Cela me laissait le temps pour me morfondre et me repasser à la limite de la torture, le film de ma bataille contre Obscur. Je ne sais pas si un jour je pourrais lui pardonner. Tout ça me pesait, j'avais besoin de l'extérioriser, de l'hurler. Il paraît qu'on se sent mieux après.
"Pourquoi! Pourquoi!" Avais-je crié. J'avais relevé la tête, m'étais remis sur mes quatre sabots, déployés mes ailes qui aussitôt se mirent à gesticuler dans tous les sens. Mon coeur était lourd, il portait de lourd fardeaux, mais celui-là était particulièrement lourd. Ce n'est pas tous les jours qu'on se bat contre un ami et de plus j'avais failli le tué dans ma grande colère divine. Maintenant, j'avais ce sentiment d'abandon, de colère et d'injustice. Pourquoi fallait-il que cela se termine comme ça? En même temps, le temps des amis était révolu. Maintenant, tout n'était que guerre et destruction, il n'y avait plus de place pour l'égalité en Equestria! Après ma petite crise de nerfs, je me rejetais au sol, glissant contre le mure, des larmes coulants le long de mes joues.
Tout était en train de s'écrouler au tour de moi. Mon idéal venait de partir en fumée et fallait bien que par n'importe quel moyen je nourrisse les miens, même si pour cela je devais en risquer ma vie, la vie paysanne ne rapportait plus assez, mais le mercenaria en ces temps maussades pouvait largement subvenir aux miens.
Je commençais à me demander si ce foutu garde allait venir, il est vrai qu'en ce moment je ne suis pas trop aimé par les lunaristes. Je me demandais même s'il allait venir un jour. Mes yeux prenaient de la lourdeur, je somnolais, appuyé contre mon mure, mais je me devais de rester éveillé au cas ou mon hôte arriverait. Malgré ma lutte pour tenir debout, je continuais à partir dans un sommeille de plus en plus profond, mes pensées se mélangeaient, un sentiment de légèreté et de soulagement me submergeait . Malgré ma lutte, me voilà doucement parti dans le monde des rêves, faisaient abstraction de tous mes problèmes et stresse. Extérieurement, on pouvait apercevoir un pégase assez robuste habillé d'une robe toute noire et boursouflée de plein de cicatrice, assoupit contre les barreaux de sa cellule. Mais intérieurement, me voilà parti pour mon ancienne patrie, là où ne régnaient que la paix et l'harmonie, là où toute guerre et conflit étaient réglés avec gentillesse et diplomatie. |
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