Milady de Winter [Terminé]

Référence, merci à KemonomimiAdop sur DeviantART
Merci à Chrysalis de l'avoir retrouver <3

On remarque Milady de Winter de loin en général – C’est pourquoi elle fait une bonne  espionne infiltré, mais une très mauvaise  ombre discrète et rapide – premièrement à cause de sa taille. Elle fait partie de ses poneys particulièrement haut sur pattes qui dépasse leurs communs d’une bonne tête et demi, cependant fines et svelte,  Milady est faite de courbe voluptueuse dont elle se joue souvent sur les étalons qu’elle croise et dont elle s’attire les faveurs avec une facilité déconcertante et cette longue corne qui siège en reine au milieu de son front ne coupe en rien les délicates ondulations de son corps.  

Le second point qui la rend différente des autres poneys  est son pelage gris perle, particulièrement sombre comparé à la grande majorité des poneys arborant une robe coloré. Déjà petite, elle faisait  taches au milieu de sa classe avec un tel pelage et ses longs crins ondulés bleu glacer,  dont elle prend grand soin,  ne la rapprochait pas pour autant de ses semblables dont elle se démarquait avec une élégance qui lui était propre. En accord avec cette affinité de glace, qui se révélera être son talent, Milady de Winter à des yeux bleu ciel qu’elle met en valeurs avec un peu de poudre cyan.

En bref, la jument  et ses airs de lady conquéraient les cœurs aussi rapidement la folie l’esprit des habitants d’Acadia.  Pourtant,  malgré les jolies petites barrettes qu’elle arbore accroché à sa crinière soyeuse, l’esprit le moins avisé remarquera ses marques étranges qui couvrent  ses pattes, remontant de ses sabots blancs comme un fils magique, et son front en un étrange symbole lunaire. Elles ont beaux avoir beaucoup de charmes, elles sont on   ne peut plus mystérieuse qu’on ne sait leurs provenance et Milady n’en a jamais toucher mot. Elle a, jadis, avoué que ses marques étaient des tatouages qu’on lui avait fait étant enfant, mais n’a jamais évoquer la raison  et encore moins la signification qu’elle portait. Il paraitrait qu’un archéologue eut un jour reconnus ses marques comme appartenant à un clan de poney disparues depuis des millénaires, mais on préféra attribuer ses marques à une fantaisie de la charmante ladie plutôt  qu’à une sottise sortie tout droit de l’esprit d’un vieux grincheux.

Sa cutie mark, quant à elle, est compacte et épineuse. Se distinguant sur le flanc de la ponette pour être en total contradiction avec les tatouages qu’elle porte car elle représente - bien qu’arborant les mêmes couleurs, à savoir le blanc - une sorte de flocon de neige styliser avec de multiples pointes au bout de huits desquels se trouve des petits point clair.

Sous ses airs de grande dame, sous ses airs de douce créature magique aux allures idylliques, règne un cœur emplie de mystère dont personne ne semble s’être rendu maitre.

Son cœur est fait de glace, insensible aux maux du monde, Milady se dévoile – pour le peu qu’elle le fasse – comme une lady froide et distante des gens qui l’entourent. Très terre à terre et intellectuelle, elle se concentre principalement sur les études de magie et la recherche d’entité féerique dont elle souhaite devenir la maitresse. Spécialiste de la magie de glace, Milady de Winter a pour objectif principal de devenir la dompteuse des légendaires Windigo, être maléfique apportant le froid et la désolation. Très professionnelle, strict et déterminé dans ses recherches et son travail, la jument est capable de tout pour subvenir à ses fins.

Elle se sait désirable, ses courbes voluptueuses auraient pu épingler à sa place d’innombrable têtes perdu par des amants pour ses jolies prunelles clairs, alors elle en joue dans le but de se faire accepter par les différents royaumes. Manipulatrice, sous ses airs glacials, elle ne le fait généralement que dans son propre intérêt, bien qu’elle fut nommé espionne du royaume chaotique ce fut elle et elle seule qui choisit ce rang à cause de l’extrême liberté qu’il procurait.

Car son orgueil et sa fierté fond également d’elle une femme indépendante qui n’accepte nul soumission, et ce masque glace qui orne son visage n’est là que pour la protéger des chaines des sentiments qui l’ont autre fois blesser, mais chut ! Car personne ne sait ce petit détail.

Milady est une jeune femme secrète et mystérieuse, elle ne fait parler d’elle que par que ses talents magiques ou ses nouvelles découvertes. Espionne talentueuse et discrète, malgré cette beauté qui la caractérise, on ne sait rien de sa vie passé ou présente, encore moins de sa vie sentimentale qu’elle camoufle subtilement derrière un tendre sourire courtois. La seule chose qu’on sait à propos d’elle, c’est qu’elle ne serait pas native de l’empire chaotique et qu’elle aurait beaucoup voyagé.
Pourtant, on se perd à penser qu’elle est capable de sentiment quand, tard le soir, quand on tend l’oreille au-dessus de sa fenêtre, on l’entend chantonner quelques mélodies connus d’elle seul. Un indiscret à même affirmer la voir un jour pleuré après avoir, pendant des heures, regarder l’horizon d’un air mélancolique. On n’eut plus jamais entendu parler de se voyeur qui, se vantant auprès de ses amis proches avoir entrevu l’âme balafrée de la licorne, à dut subir son courroux. Ce qui, par la suite, à permit de se rendre compte que la belle était aussi cruel que rancunière.

Milady ne considère personne comme son supérieur, au contraire grâce à ce talent magique dont elle est doté elle a tendance à voir les poneys comme ses soumis, quant aux autres elle les voit comme des égaux et elle ne se priverait d’aucune sorte pour défié les plus puissant bien qu’elle éprouverait quelques réserve à tâté du fer avec un être aussi surpuissant que Discord. Téméraire, mais loin d’être idiote, Milady connais les limites à ne pas dépasser et tant qu’elle ne se jugera pas aussi forte – magiquement parlant – à son seul et unique chef qui se trouve être le dirigeant du royaume, elle ne le défiera jamais. Par ailleurs, elle serait capable de le faire un jour, car elle est ambitieuse, bien que ce ne soit pas son objectif premier.

Milady aime la compagnie, malgré son absence d'empathie, elle aime être entouré de personnage calme et sérieux, se complaît dans les conseil de guerre mais très peu avec la population générale de son royaume qui la voit donc comme une personne asocial.

Milady de Winter est une bâtarde, ce qu’il y a de plus simple et de plus beau à la fois. Née d’une passion irrationnelle entre un noble de Canterlot et d’une roturière. Elle fut retiré à sa mère quelques mois après sa naissance quand son père, horrifier, découvrit des tatouages blancs sur le corps du bébé qu’il avait décidé d’assumé la vieille malgré l’avis de ses parents et l’engagement pris après de sa fiancée. On rapporta des hurlement de douleur, à la fois toucher en plein cœur de cet acte de cruauté qu’est de retiré un enfant à sa mère, mais bien que cette douleur ne fut rien en comparaison à des coups qu’elle reçut la part de son amant qui refusa qu’elle passe une seconde de plus en présence de ce fruit du péché que le jeune étalon c’était pris à aimer. Malgré l’ardeur de son amour maternelle, la jument ne put rien faire pour garder Milady près d’elle et dans les jours qui suivirent on retrouva son corps dans le fleuve qui traverse, encore aujourd’hui, Canterlot. Elle s’était donner la mort suite à la disparition de sa fille et elle affirmait ne pouvoir vivre un jour de plus sans elle.

La pouliche, quant à elle, ne se souviens pas de sa mère. Ni à quoi elle ressemblait, ni le son de sa voir, ni son odeur, par contre elle se souvient très bien de la nourrice qui l’a élevé et qu’elle s’est prise à aimer tout au long de son enfance. Son père, elle n’en n’a jamais vu l’ombre, mais on sait que la nourrice recevait une coquette somme d’argent pour élever la jeune femme et subvenir à tous ses besoins. Ainsi, Milady ne manqua de rien durant son enfance et put découvrir tout ce qui lui passait devant les yeux de façon approfondit. C’est comme cela qu’elle découvrit le chant, la broderie, la calligraphie, le solfège et surtout la magie. Passionner par cet art particulier pour lequel elle avait de grande facilité, de par sa nature de licorne, Milady obtins grâce à elle sa cutie mark un long soir d’hiver. Elle avait laissé la fenêtre ouverte, malgré l’interdiction de sa nourrice qui voulait conserver toute la chaleur provoquer par le feu de cheminé, et pendant que cette dernière était en train de préparer le diner la petite licorne jouait avec la glace et le feu assise sur la rambarde de la fenêtre. Tantôt elle précipitait un flocon de neige dans le feu, tantôt elle implantait une petite flamme au milieu de la rue qui s’étendait devant sa petite demeure, mais manier le feu est compliquer et douloureux, alors que la neige est délicate, chaque flocons unique, à la fois doux et piquant. Alors, au lieu de jeter le dernier flocon dans le feu, elle le jeta au plafond avec un peu trop d’enthousiasme et quand ce dernier toucha le lustre il explosa en une multitude d’autres minuscule flocons. Quand la nourrice revins dans le salon, elle fut ébahit devant cette démonstration magique qui fit pleuvoir de la neige à l’intérieur d’une maison, et trouva sa petite éclatant de rire tellement elle fut heureuse de cette petite trouvaille. Quand Milady s’affirma mentalement que la neige était si belle, si forte à la fois, et que ce devait être cette raison qui lui offrait cette affinité particulière avec le froid, son flanc se mit à luire et quand la lumière disparu apparue sa cutie mark.

Un an après, la petite pouliche entra à l’école de magie où elle se distingua des autres par l’originalité de sa robe, contre toute probabilité héritée de sa mère dont nous ne connaissons rien, et par son génie magique en matière de maitrise de la glace. Elle sait qu’elle a du talent, qu’elle est plus doué que les autres et cela fait naitre en elle un sentiment de supériorité qui ne la quittera jamais, cependant elle est loin d’être idiote et quand elle apprend la légende des Windigo, jument de glace apportant le froid et le malheur, elle se met en tête de les dominés et de devenir leur maitresse, mais elle sait que ses idées vont contre l’éthique même de l’empire du soleil.

Si on sait qu’elle a terminé ses études et qu’elle obtenue son diplôme plutôt jeune, on ne sait trop ce qu’il s’est passé durant ses années de scolarité. Surement à telle fomenter un plan une fois qu’elle aura acquis toutes les connaissances qu’elle le pouvait à Canterlot, bien que ses dernières paraissent illimité, toujours est-il que la jeune et gracieuse Milady de Winter quitta la capital vers ses dix-sept ans, une fois son diplôme en poche. On perdit plus ou moins sa trace durant quelques années, on sait qu’elle passa beaucoup de temps dans les forêts glacé où elle perfectionna son art et acquis un bâton en bois clair orner d’un cristal canalisateur, maintenue en place par ce qui semble être des racines, à son sommet. Par la suite, on arrive à suivre ses traces durant près de cinq ans avant d’apprendre que la ponette à jurer allégeance à un parti ennemi à celui de l’empire du soleil.

Entre cette page et la seconde se trouve une note écrite récemment par une personne aillant une écrire fine et délicate, probablement une écriture féminine.

La suite de son histoire ne fut connue que part peu de personne, et pour cause, car personne ne s’intéresse aux histoires tristes. Elle brise doublement le cœur, de celui qui la lie et de celui qui la vie, fait monté une boule de chagrin dans la gorge et donne envie de pleuré. Après être sortie des forêts enneigées, Milady se rendit sur les terres sombres où la magie noire régnait en maitre absolu sous la direction du Roi Sombra. Bien que mal accueillit de prime abord, la licorne ne se découragea pas à entra dans le royaume en échange de sa loyauté. Elle la donna, sans réfléchit, prête à rompre son serment si elle ne trouvait rien d’intéressant dans les bibliothèques perdu de ce territoire désolé. Pourtant, elle y trouva bien plus que les connaissances dont elle recherchait avec avidité, mais elle y rencontra la plus belle et la plus tranchante épée dont elle tomba éperdument amoureuse.

C’était un petit sergent aux services du roi quand elle l’eut rencontré, un pegase qui s’avéra avoir de grande connaissance magique malgré son statue de voltigeur expérimenté – mais cela était dut, elle l’apprendra plus tard, à sa grande famille composé à moitié de licorne et de poney c’était livré à l’étude de la magie – et il était fort et jeune, tout comme elle déterminé à voir plus loin que les limites qu’on lui accordait. Ô qu’elle l’avait aimé avec passion et une telle force qu’elle eut été capable de geler la mer pour ses beaux yeux s’il le demandait.

Mais la guerre éclata et avec elle arriva son lot de combat, de bataille, mais aussi de cris, de pleurs, de sang. La désolation s’abattis sur les armés, tout comme sur les cœurs des amants. Malgré l’interdiction de son amant, qui souhaitait plus que tout au monde la protéger, Milady de Winter participa aux premières batailles sous la bannière de Sombra. Durant cette période elle développa des sorts meurtriers, car on ne joue pas de mauvais tour en combat, on tue ou on se fait tuer. Elle l’avait bien compris, mais cela ne l’empêcha pas de cauchemarder suite à ses batailles où elle vit des poneys à l’agonie succomber par sa faute. Cependant, elle resta forte tant que son aimé revenait à ses côtés. Malgré la guerre, ils espéraient pouvoir former une famille bientôt, il était plus enthousiaste qu’elle, car il ne se passait pas un jour où il se distinguait de ses supérieurs. Il ne cessait de lui dire que demain, peut-être, il serait promu et qu’il siègerait un jour au conseil du roi. Il en était convaincu. Elle, par amour, acceptait tout.

Cependant, lors que la bataille à venir contre l’empire du soleil, et sachant la réputation de son monarque au plus bas, il désir s’engager à corps perdu dans la bataille dans l’espoir de ramener la tête d’un des généraux ennemis au Roi Sombra, mais Milady refuse avec ardeur car son tendre aimé n’était pas encore remis des blessures de son ancien combat. Il lui promit alors de se reposer, mais trahit le serment qu’il venait de lui faire pour aller se distinguer face aux forces solaires. Il tua un général, ce meurtre le propulsa à la place de général qu’il occupe encore aujourd’hui, mais Milady ne lui pardonna pas cette déloyauté et, contrairement à son amant quelques années plutôt, boudant tant et si bien que des tensions naquirent dans ce couple si idyllique.

Une pseudo découverte d’une liaison qu’il entretenait avec une autre jument termina d’achevé ce que la course à la gloire de l’étalon avait commencer et rompit le cœur de la belle en deux. Elle cria, lui reprocha sa tromperie et le déshonneur qu’il apportait sur elle, ne lui laissa pas le temps de s’expliquer et lui, se jeta tout entier dans cette haine si ardente qu’elle consuma ce doux foyer qu’ils avaient construit à deux. Il lui ordonna de disparaitre, elle lui souhaita de mourir. Ils ne se revirent plus.

Milady de Winter quitta Dark Plegde sans aucune forme de procès. De mage sombre, elle devint traitresse, renégate, mais elle ne resta pas longtemps seule car le danger rode quand on abandonne sa patrie et elle hâta de rejoindre l’endroit où elle savait que personne ne viendrait la chercher. Ni son ancien amant, ni les gens qui la connaissaient, ne viendrait la chercher à Arcadia. Protéger par la présence de Discord et de cette folie ambiante, Milady sait que son élément de prédilection n’est pas favorisé dans un endroit aussi aride, mais elle contrebalance ce malus avec une position d’espionne qui lui permet de voyager et de brouiller sans cesse ses traces.

Ici, la feuille se termine et le récit rejoint le rapport réalisé par l’archiviste dont une bonne partie fut raturé.

Cette année, Milady parcourt les différents royaumes en temps qu’espionne de Discord sur lequel elle semble vouloir garder un œil. Bien qu’elle n’eut pas participé à la prise du Crystal Empire, le fait que son chef s’enferme dans sa chambre et ne souhaite plus en sortir l’inquiète, car elle le considère seul garant de sa sécurité et elle ne souhaite pas qu’un autre plus fou ou plus influençable prenne sa place.

Quelques temps plus tard, on retrouve une note de l’archiviste.