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 Black the fondation

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MessageSujet: Black the fondation   Black the fondation EmptyMar 30 Déc - 11:25

Suite a tout ce qui c'est passé j'ai commencer ceci :


UN REVE • UN AMOUR • LA MORT

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BLACK
Un meurte s'est produit sur une petite rue de Paris, Clémentine spécialist des meurtres, vas essayer de découvrir le coupable. Mias elle y perdra quelque chose...

Chapitres

Prologue : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Chapitre I : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Chapitre II : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Chaptire III : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Personnages

Black : Personnage principale de ce roman. Il porte souvent une cape noir.

Clémentine : Deuxième personnage important, Clémentine travail pour une agence secrete, une branche de la police. Elle est souvent de mauvaise humeur.

Pierre : Le petit amis de clémentine, il joue un rôle secondaire. Il travail dans la même branche que Clémentine, mais il reste moin haut gradé qu'elle.
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MessageSujet: Re: Black the fondation   Black the fondation EmptyMar 30 Déc - 11:26



PROLOGUE

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La lune étais haute dans le ciel cette nuit là. Imperturbable tandis que la capitale, et ses gens dormais tranquillement. Un cris retentis alors au loin. Un cris strident, comme si une personne venais de se faire tuer. Tout étais étrange, mais ce bruit ne réveilla personne car tous dormais profondément. Sauf les gens de cette immeuble. Un veille immeuble, ou logeais une femme. Et ce cris, ressemblais au siens. Quand les policier étais arriver, le corps étais partis, mais ils virent une ombre s'echaper par la fenêtre qui étais restée ouverte.  C’était sûrement par là qu'elle étais rentrée. Des traces de sang y menais droit.    

Cette ombre s'avençais lentement dans les rue grise de cette grande capitale, la nuit étais désormais tombée. Des bruits de pas résonnaient dans cette ruelle. Un faisceaux de lumière éclaira un objet brillant. Tandis que cette ombre s'avencais, on voyais un sourire sur ses lèvres quand il sortit de l’obscurité. C'était un homme. Au yeux plisse, ce qui formais des rides sur son nez. On aurais dit un loup affamé. Il étais vêtus de noir le rendant invisible dans la nuit. Ses longs cheveux gras et marrons dégoulinais sur ses épaules et sur son front. Son sourire étais plutôt étrange, dans sa main repose une longue épée en argent, et sur une ceinture attachée en bandoulière, reposais délicatement un flingue noir, avec une inscription dessus. Dans son autre main, un sac. Un sac rouge comme le sang.
Cette homme donna alors un violent coups au mur.

« Mais bordel, pourquoi tout le monde en a après moi. Y'en a marre là. Je me demande où est... »

Des sirènes retentirent au bout de la rue. L'homme noir, tourna la tête et fixa les voitures de police qui lui foncée dessus. Il savais qu'il n'avais pts le choix, il devais s'enfuir. Balancent le sac contre le sol, une incroyable transformation ce passa. Le nez de l'homme ce changea en museaux, et son corps devient poilus, et sombre de la couleur de son mentaux. Un loup sauvage se tenais maintenant en face du sac rouge. Tandis que les sirènes se rapprochaient, l'homme loup étai partis, dans ses ruelles sombres qui lui font guise de refuges. Car rien ne peut le cachais mieux qu'un endroit sombre.
Par expérience, il savais qu'il ne devais pas sortir de cette endroit qu'il avais creuse entre deux mur, pendant 2 ou 3 longue semaines, sans manger. A part des rats ou d'autre petits rongeurs. Mais moins il mangeais, plus il devais tuer. Il ne passais que rarement de temps sous forme d'humain. Peut être car dans son cœur, il n'est pas humain. Et il ne le seras jamais. Il se souviens de son enfance. Ses parents... Des être comme lui. Aussi hais qu'il l'est a présent. Mais ceux-ci l’interdisais, d'aller voir les humains. Ces mortels au grand cœur. Car oui, cette homme en noir étais une espèce perdue et oubliée de tous. Une espèce qui avais fais un pacte avec la mort. Un pacte horrible.
Plus ils tuaient, plus ils vivraient longtemps. Et bien sur cette espèce, ne peut se nourrir que de chair et de sang. Donc elle devais tuer. Pas dès son plus jeune âge bien sur, mais dès leur 10 ans. A une certaines, époque, les mortel les appelaient les envoyer de la mort, ou encore : Les démons animaux. Car chacun d'entre eux, pour tuer plus facilement prenais une apparence d'animal. Mais depuis que les armes existent, ils tuent de façons différente.

La tête déposé contre un carton, l'homme noir avais revêtis son apparence de loup. Ses yeux se fermèrent. Il crispa sa longue mâchoire tout en tombent dans ses rêve douloureux.

« Promet moi de ne plus te couper Black. » Murmura la voie d'une femme dans le dos de ce jeune garçons assis contre le sol. C'était un loup, un loup noir.

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MessageSujet: Re: Black the fondation   Black the fondation EmptyMar 30 Déc - 11:26



CHAPITRE 1

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ding ding ding ding
La sonnerie se déclencha, ma main sortie de la couette blanche et se posa avec un bruit contre la table de chevet, elle chercha a taton le téléphone qui y étais poser. L'attrapant finalement, j'ouvrit mes yeux. Dans ma main, un appareil électronique connus aussi sous le nom de portable. Je regardais l'écran le regard fatigué, sans comprendre ce qu'il y avais d'écrit. Ma vue finis par se rajuster.

« Un nouveaux message ? A cette heure-ci ! Je vais tuer la personne qui... c'est Pierre bordel, il peut pas m'envoyer un texto vers 6h du matin. J'peut plus dormir ici ! »

J'affichais le message en appuyant sur mon écran et lut :

«  Clémentine, nous avons une urgence sur les bras. Un meurtre, nous avons presque toute l'équipe dessus, et tu es la spécialiste dans ce genre de chose. Alors si tu pouvais venir au plus vite là ou cette personne a étais tuée.

23 rue du Lepic 75018 Paris.( La porte a était forcée donc... )

PS : Je crois que pour demains soir c'est anuler . »

Je lâchait alors un long soupir. Je me levait, déposant par habitude mes pieds directement dans mes chaussons. Il semblerais qu'aujourd'hui, je ne puisse pas prendre ma douche matinal, comme la plupart du temps dans ce métier si dur.
Je fixais la pendule, il allais être 1h du matin.

«  C'est vraiment du foutage de geule cette histoire ! »

J’attrapais a la vas vite, un t-shirt et un pantalon avant de m'engouffre dans ma salle de bain. Ca devenais de plus en plus dur de pouvoir avoir un moment de solitude dans ce métier. J'en pouvais plus. J’enjambai un carton posé devant la porte de mon appartement. J'attrapais mes clefs, et je sortit. Prenant grand soin de re fermer la porte derrière moi. Je descendais les escalier très rapidement pour une fois que j'allais vite au travail.
La porte comme a son habitude, pas fermée me fit gagner du temps. Elle tenais dans sa main un plan de ville l'adresse sur son téléphone.

«  J'me demande c'que c'est. Un meurtre il m'a dit, ouai d'accord ça décrit bien. Si ils ont touché le corps, je vais galérer et on trouvera sûrement pas le coupable... »  

Je me figée alors. Depuis 10 minutes, je me parlais a moi même heureusement qu'a cette heure ci, il y a peut de monde dehors. Je lançais un regard furtif au coin de la rue. C'était la bonne. Levant mon plan où étais écrite l'adresse. J'étais sur le mauvais côté de la route. Mais bien sur ! Si logique je suis je me trompe. Mon regar se posa sur un petit imeuble de la même taille que les autres. Le numéro ? 23.

«  Bah enfin. »

Je traversais la rue où deux voitures étaient mal garées. J'avais envie d'appelle r la police dont je faissais en quelque sorte plus ou moins partis. Mais j'avais mieux a faire que de faire chier avec des cons.  La porte était belle est bien forcée, plutôt même arrachée de son socle. J'arrondis mes yeux, mieux vaut ne pas toucher a ça, elle peut renfermer des empreintes. Prenant un peut de vitesse je sautais au dessus des décombres, mais en sport j'avais jamais réussis a sauter au dessus d'un petit truc de 5cm, alors là, bien sur, je me prenais le tout avec mon pied, je me suis bien étalée contre le sol. Me relevant je me secouais dans tout les sens, essayant d'enlever la poussière de mes jean.

«  Putain mais j'ai la poisse.  Un truc de fous »

Je montais les escaliers d'une manière étrange, et ouai, moi je monte pas les escaliers comme les autres. Moi je monte sur les marches du côté le plus petit, pour mieux tomber c'est tellement logique. J'attrapais la rampe avec ma main droite, jamais je tient la rampe en descendant mais en montant toujours, on se demande aussi pourquoi la rampe est toujours sur le côté droit et pas du côté gauche m'enfin, voilà quoi. Quand je pense je pense. Montant vers le deuxième étage, je sortit mon téléphone qui s'était mit a vibrer.

«  Clèm, le « boum » c'était toi ? Tu t'es fais mal ?

PS : Si c'était pas toi, grouille toi un peut.

Pierre »

Je fronçais mes sourcils, pénétrant le petit appartement. Il y avais eu des dégats, je plaçais mes lunettes sur mon nez tandis que j’avançais traversant les décombres d'objets précieux en tout genre.
Pierre leva la tête du corps qu'il semblais examiner depuis environs 30 minutes. J'affichais un sourire. Et oui, des fois j'arrivais a sourire mais quel effort. Je fixais l'endroit où étais regroupé tout le jolie monde.

« Personne n'as touché au sang ? 
-Personne en effet, répondit Pierre. Tu a une idée de ce qui aurais put être la cause de sa mort ? 
Tu crois que je suis un super héros ou un truc du genre, j'ai pas une vue a rayon x figure toi. »
Je m’accroupis près du cadavre, Pierre me tendis des gants tandis que fixais une sorte de morsure au sol. Une morsure trop grosse pour être celle d'un homme par ailleur, qui voudrais mordre une personne pour la tuer. Attrapant une pipette se trouvant dans un sac près de moi, je prélevais un peut de sang quand je sentit tout les regards posé sur moi.

«  Vous avez un problème j'fais mon boulot faite le votre ! »

J'ME DEMANDAIS BIEN C'QUE C'ÉTAIT LEUR PROBLÈME TIENT. FALLAIT S'Y ATTENDRE AUSSI, ON ME RÉVEILLE A 12H ET ON PENSE QUE JE VAIS ÊTRE UN BISOUNOURS ? NON MAIS YA UNE LIMITE.
JE FAISAIS LE TOUR DE LA PIÈCE UN APPAREIL PHOTO À LA MAIN. JE PHOTOGRAPHIER TOUT CE QUI ÉTAIS BIZARRE. JE M'ARRÊTAIS BRUSQUEMENT. IL Y AVAIS AU SOL, ENTOURER DE MARQUE DE SANG, UNE SORTE D'ÉCRITURE ÉTRANGE. PAS HUMAINE EN TOUT CAS.

« PIERRE VIENS VOIR. »

PIERRE ACCOURUT ET S'ARRÊTA NET DEVANT CETTE « CHOSE » IL LE TOUCHA DU DOIGT, IL SEMBLAIS QUE CE N'ÉTAIT PAS MÊME ÉCRIT, C'ÉTAIT GRAVÉ, COMME SI ON AVAIS FAIS BRÛLER QUELQUE CHOSE A CETTE ENDROIT...

« ON EMMÈNE TOUT AU LABO. ALLEZ HOP. PIERRE, PREND UNE PHOTO DE CE TRUC LÀ, J'AMÈNE L'ÉCHANTILLON DE SANG AU LABO, REJOIGNEZ MOI DÈS QUE VOUS POUVEZ.»


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MessageSujet: Re: Black the fondation   Black the fondation EmptyMar 30 Déc - 11:27

Merci c: voici le chaptire



CHAPITRE 2

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Je fonçais au labo, le plus vite possible, l’échantillon de sang dans la main que j'essayais d’ailleurs de ne pas remuer. Je m'arrêtais net. Le code, le code c'était quoi déjà.

«  Et merde ! Pourquoi il font un truc aussi compliqué a chaque fois. »

Je sortait de ma poche droite un peut trouée un petit objet de couleur noir, cette objet détenais une puissance d'énergie formidable, et je m'en servais souvent pour ouvrir les portes codée. J’appuyais sur le petit boutons  bleu, un grésillement se fit entendre et la porte s'ouvrit comme à son habitude.
La pièce étais bien rangé, mieux que d'habitude du moins les mur blanc lui donnait un aspect paradisiaque, tendis que les morceaux de chaires ou de membres lui donnait un aspect d'enfer. Tenant toujours dans ma main l'objet si précieux, et qui pourrais nous permettre de découvrir qui a fais quoi a qui. Car forcément, si la personne a mordu cette jeune femme, alors il devrais dans son sang, y avoir avec un peut de chance, des trace de salive, contenant des informations génétique sur le propriétaire de cette salive... Rah c'dégouttant quand j'y pense ça me donne envie de gerber partout comme un gamin de 2 ans, je levais mon échantillons au dessus ma tête allumant la lumière sur cette grande pièce vide. M’asseyant alors sur mon fauteuil juste en face de la seule fenêtre de la pièce, je pris avec précessions mon microscope. Attrapant une petite lamelle je pris une pipette que dans un sac propre bien sur, et ouvris mon échantillon. La pipette absorba le sang avant que je puisse appuyer sur sa petite bulle d'air, je fit tomber alors deux goutte sur ma lamelle. Ajustant mon microscope, quelque chose me frappa tout d'abord, le sang bougeait. Il bougeait, allo, c'pas possible ça. En effet, il semblait avoir des mouvement étrange, comme ci ces molécule se répliquais, ce qui étais par ailleurs le cas.

«  J'en reviens pas... »

Pierre pénétra la pièce suivit de Vincent, un expert de la génétique humaine et animal. Le regard des hommes se posa sur la lamelle, où le sang bougeait de plus en plus. Vincent fit un pas en avant

«  Clèm, laisse moi voir ça. »

Mais quel mal élevé j'en reviens pas ! Je me décalait lui laissant la place pour observer ses drôle de molécules.

«  On dirais qu'elle se multiplie, et qu'elle se transforme, regarde Clèm y'en a une qui a changée de couleur, elle est devenue plus ou moins violette. »

« Mais tout le monde m'appelle Clèm ma parole, c'est quoi cette mauvaise habitude , songeais-je tendis que je reprenais ma place initiale  »

Cette gouttelette de sang avais en effet perdue sa couleur rouge bordeaux, pour prendre une couleur plus bleutée. Tout cela n'était pas normale, c'était comme-ci, les molécules contenus dans la geule de ce truc étais empoissonner et influençait les autres faisant une réaction en chaîne, transformant le sang de sa victime, en autre chose. Je m'était levée prenant un autre tube pour prélevait le sang de la lamelle.

«  Il faut aller voir le dossier de cette fille on trouvera peut être quelque chose. Et si elle a de la famille ou des amis il faut les prévenir du moins. »

Je sortais de la pièce suivis de près par Pierre et Vincent, m'asseyant sur un siège j'ouvris un gros dossier de son nom que l'ont avais semblerait-il préparé pour moi. Je lut alors son dossier attentivement. Elle semblais avoir quelques amis, mais pas plus que cela. Ces parents étais décédés mais rien ne stipuler quelqu'un l'ayant menacer ou autre. Il y avais vers la fin de son dossier, un numéro. Celui de son petit ami.

«  Vas falloir l'pévenir. Vincent, tu t'en charge ? »

Il eu un mouvement d'hésitation, comme si il était incapable de parler. J'affichais alors un sourire moqueur

«  T'as peur dis moi ? Annoncer une tel nouvelle... C'la première fois que tu fais ça ? Bah c'est le métier, alors vas falloir une première fois a tout. Aller hop, tu l'appelle, j’attends le boss. »

Aussitôt dit, aussitôt fait, Vincent se jeta sur le téléphone, les mains tremblante, mais un peut plus sur de lui, il était nouveau dans «  l'agence » donc voilà quoi, même moi j'avais dut faire face à cela il y a longtemps. Ça avais était si dur... Annoncer une tel nouvelle a une personne, qui n'y peut rien.
Hm, j'aime ça. Toujours assise sur mon bureau, mon coude se posa brusquement sur le plastique noir, et soutient alors ma tête qui tombait sans pour autant que je ne m'en aperçoive. J'affichais un léger sourire, le regard posé sur la fenêtre, le ciel toujours sombre, reflettait le levé du jour nouveau. Demain, on aura peut être une moitiée de journée de repos, pour rattraper notre nuit ratée. Le bruit d'une voiture qui venais de se garer retentit dans la cour. Me levant, je passa ma main dans mes cheveux plus ou moins en bataille, faute de n'avoir pas put les attacher

«  C'est chiant quand même »
Genre comme si j'étais seule dans la pièce j'm'attendais a quoi ? Une réaction de la part de Pierre qui dormait sur son bureau ? A la fenêtre, il y avais un mec plutôt gros qui avançais lentement. Il ouvrit la porte. Je pense qu'il va mettre un plombe a monter.

«  ÉH ! les mecs, le boss, monte les escaliers. »
Pierre sursauta, avant de se rendre compte de ce qu'il se passait. Son regard se posa d'abord sur moi, avant de se tourner vers la cage d'ascenseur. Qui faisait aussi office de cage d'escalier. Son regard se reposa sur moi.

«  Tu m'as réveillé que pour ça ? La dernière fois, il a mit dix minutes, rien que pour «  entrer » dans l'ascenseur. »

Mais Pierre avais commis une erreur, le patron avais fait installer un nouvelle ascenseur, ce qui aais obligé toutes les équipes de cet étage, a prendre les escaliers. ROH la galère c'était pas pratique, y'en avais 60 O.K j’exagère un peut mais voilà quoi.
J'affichais un sourire, amusée de voir Pierre sursauter a nouveau tandis que le patron pénétré la salle. Il était, petit et gros, le duo de choc absolut, j'imagine qu'il pouvais voir, en regardant rien que son ventre, une deuxième personne en lui ,ce qui le rendait si modeste. Il avais des cheveux gras, plaqué contre le haut de son crâne, habillé de cette blouse blanche obligatoire pour ceux qui bossaient pas tout le temps là.

«  Alors les jeunes du nouveau ? »

Nan mais il se foutait de notre geule là. « Les jeunes » Genre, purée ce mec se prend, pour l'homme lui âgé de la terre, le grand sage des singe sans cerveau.
Vincent s'était retourné le téléphone à la main, tout semblais s'être bien passé,  il était dégoulinant de sueur. Le patron le dévisagea

«  Il est nouveau Clémentine ? 
Yep. Vous êtes là pour voir ce que nous faisons contre ce meurtre ? Enfin contre... Plutôt pour découvrir le meurtrier, dis-je alors.
Oui, c'est pour cela, je viens aussi vous annoncer, que vous avez de maintenant jusqu'à 14h 30 pour vous reposer. Ca deviens difficile de se lever tôt à chaque urgence non ? Alors un peut de repos vas vous faire du bien les enfants. Sinon, vous avez avancer ? »

Il comptait nous donner le biberon après ? Et nous faire le «  rototo » ? Le lui lançais un de ses regards. Mais celui qui vous dit que je vais le tuer quoi. En mode laser à la place des yeux. Pousant un soupir, j'attrapais le dossier que Pierre avait posé sur le bout de plastique bleu de mon bureau, vers le coin gauche. Je le lui donnait.

«  Bon j'y vais moi. J'ai une nuit de sommeil a rattraper. »

Sur ces belles paroles, je contournais mon gros patron, pour m'enfoncer dans la cage d'ascenseur, je fus vite rattrapée par un Pierre tout essoufflé

«  T'aurais put m'attendre non ?

T'attendre pour quoi ?
Bah, j'peut te raccompagnée non ? »

J'eu un mouvement d'hésitation avant de le laisser entrer dans l'ascenseur. Un sourire s'afficha alors sur mon visage. Il me plaqua contre la paroi de l'ascenseur

«  Tu fais quoi après, murmurra-t-il au creux de mon oreille.
J't'ais dis, je vais me coucher.
Tu crois qu'il y a assez de place pour deux ? »

L'ascenseur était enfin descendus, enfin, je poussais gentiment Pierre, qui se laissa faire tranquillement. Je sortis alors, bien sur, j'avais pas eu le temps de prendre ma voiture, donc je devais rentrée a pied, si Pierre n'avais pas pris la sienne.

« Pierre t'as pris t'as voiture ?
Ouai je te reconduis ? »

Il glissa sa main sur ma hanche, et je finis par me laisser faire, blottit près de lui, comme si c'était le seul. On pénétras sa voiture rouge,  qui nous ramenas chez nous. Pierre me poussa sur mon lit. Il passa tendrement une main sur ma joue.

J'avais ramener un échantillons de sang avec elle, il fallait que je puisse bosser pendant cette journée de repos.
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MessageSujet: Re: Black the fondation   Black the fondation EmptyMar 30 Déc - 11:33



CHAPITRE 3

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Déposant am patte sous ma mâchoire, j’entrouvris ma geule humant l'air. Je mit alors mon appuis sur mes deux patte avant, décalant subitement ma tête de celle qui la soutenait. Je poussais un soupir. Je n'avais pas encore mangé ma proie, elle était trop dur, c'était répugnant, c'est pour ça que l'ont attend quelques heures avant de manger la proie que l'ont chasse, mais j'avais zapper ; et je me suis endormi. Quelle chance !

« Mais où ais-je donc la tête, j'me fais vieux voilà tout. »

Je me levais et, attrapant le sac d'une patte je le poussa vers moi d'un mouvement lent et disgracieux. Ma mâchoire se crispa. Même si j'étais obligé de manger, je n'aimais pas gâcher la vie. Mais ils on bien gâchés la notre, alors c'est kiff kiff.
Ma patte se transforma en main, tandis que mon pelage noir, devient un grand manteau de couleur semblable. Mon regard se posa voracement sur le sac au sol. Je défis le noeu qui le tenait fermé. Reprenant mon apparence de loup, je fourrais dans le sac ma geule, qui pris vite une teinte rouge.
Pleine de sang humain.

«  Pas si mauvais que ça, j'aurais préfère un peut plus tendre mas si je ne m'étais pas endormis. Roh, c'gavant. Si seulement notre espèce n'était pas immortel, ça m’emmerde... »

J'enfonçais à nouveau mes crocs dans ma proie avant de remuer ma tête de toute façons pour arracher le bout que je maintenais entre mes crocs rouge. Il me fallais tout de même en garder. Faut pas non plus que je crève de faim mh?Je m'ébrouais éparpillant de la poussière et des gouttelettes de sang a travers la pièce. Je ne savais quoi faire tendis que les bruits de la route retentissant me déchirais les oreilles. Ma queue fouetta l'air longuement tandis que je cogitais un plan pour ma prochaine attaque, il me faillais être rapide et efficace, car si je me rate, je ne pourrais pas manger pendant un certain temps. Et des rats ou des souris pendant 2 semaines...

«  Donc, dis-je en m'asseyant. Si j’essaie de sortir maintenant, je risque de me faire prendre, la fille, je lançais un regard sombre vers le sac. La fille à réussie a me blessée avec son couteau. J’espère ne pas avoir saignais, cela pourrais être catastrophique si ils découvraient mon code génétique. »

Mon regard se posa, sur la petite entrée de ma tanière. Pas assez grande pour être vue, mais assez ouverte pour y pénétrer, j'entendis les sirènes de la police. Peut être étaient-il toujours a ma recherche. Je n'en sais rien du moins. Mes yeux se fermèrent, un léger frisson me parcourut. Même un immortel peut mourir... Et je ne serais pas le premier, mes parents ont étaient tués par des humains quand ils eurent découvert leur vrai être. Ma mère s'était sacrifier pour me sauver... Tout de plus normale lorsque l'on ai le dernier de son espèce. Ma patte se posa contre le sol de pierre fraiche. Mon pelage passer inaperçus dans l’obscurité de ma tanière. Mais que dois-je donc penser de ses mortels qui me chasse ? Pourquoi moi ? Je ne fais que me nourrir, ils tuent bien des chèvres, des moutons, ou des vaches. Alors pourquoi ? Parce que j'étais différent d'eux. Là est la réponse, les mortels ont peur de ce qui ne leur ressemble pas, car ils n'en connaissent ni les réactions, ni les pensée.
Une fois encore j'étais seul contre tous, enfermée dans ma tanière dont je ne bougerais pas. Et dont je ne sortirais que pour me nourrir, si seulement le monde pouvais changer, si seulement les humains nous comprenaient.
J'attrapais un des os que j'avais fait tomber contre le sol un peut plus tôt. Je le maintenais entre mes crocs tendis que ceux c'y s'activaient pour me ronger cet merveille.

Un vent nouveau soufflera bientôt sur ce monde, ça j'en suis sur.
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