Jackal le nécromanchien. [Attente de retour du staff]

▲ Bienvenue à Jackal Kingston ▲

• Informations de base •

NOM : Jackal Kingston.
Surnom : Monsieur Kingston.
Âge : 30 ans.
Sexe : Mâle.
Race : Diamond Dog.
Talent : Charismatique : De part son aura, Jackal ne laisse personne indifférent. Dans le bon sens du terme, comme dans le mauvais. (Facilité de contact avec les personnages du sexe opposé, facilité de corruption d'un personnage de niveau inférieur, facilité à lead ses amis ou des personnages de niveau inférieur).
Métier : Chasseur de prime.

Faction :Dark Pledge.
Classe : Nécromancien.
Classe² : [Plus tard] Forgeur.
Armes : Une longue faux noire, rétractable, munie d'un lame mâte, tout aussi rétractable. Un gantelet à la main gauche, avec des griffes en acier (Catalyseur).
Alignement : Chaotique-Mauvais.

• L'apparence est importante •

Jackal est beau. Non mais c'est vrai, 1m85, un pelage impeccable, doux, un brun parfait, des dents d'un blanc pur, un costume parfaitement taillé, une cravate rouge, assortie à ses yeux couleur sang, son collier à pique donne aux poils de son cou l'aspect d'une crinière, la même qui donne au lion son air royal et son titre de roi. Sa musculature parfaite et sa posture droite viennent compléter le style du parfait mâle alpha. Son physique et son aisance dans le plus infime de ses mouvements, sa voix grave et mielleuse (beaucoup s'accordent sur le fait que c'est une des plus belles voix qu'ils n'aient jamais entendu) étoffée par un langage soutenu, font de lui un chien convoité par la gente féminine. On raconte qu'il peut vous faire tomber sous son charme simplement en vous saluant. Au niveau physique, Jackal est un véritable prince charmant.
Mais l'habit ne fait pas le moine, et le charisme de Jackal n'a d'égal que sa mégalomanie.

• Un caractère unique •

Prenez tous les critères du psychopathe, rajoutez une intelligence au dessus de la moyenne, saupoudrez d'une légère schizophrénie, vous obtenez Jackal ! Et vous regrettez instantanément d'avoir fait ça. Jackal est sadique, violent, imprévisible, fourbe et possède bien d'autres qualités encore. Il est du genre à vous prendre dans ses bras pour mieux vous poignarder. Il est aussi du genre à vous poignarder quand vous êtes face à lui. En fait, il est juste du genre à vous poignarder. Jackal n'est pas joueur, sauf si vous êtes son jouet, ou si le prix à gagner est votre âme, ou quelconque partie de votre anatomie. Il prend un malin plaisir à corrompre les âmes faibles, s'en servant comme objets pour accomplir ses sombres desseins. On ne peut pas dire que Jackal ai beaucoup amis, il n'en voit pas l’intérêt. Depuis aussi loin qu'il puisse s'en rappeler, Jackal à toujours eu l'âme d'un tueur. Pour lui, la mort est une fatalité. Et la vie n'est vouée qu'à pourrir. Si vous lui demandez un jour pourquoi il tue, c'est déjà que vous êtes inconscient, ou bien plus fort que lui, dans ces deux cas, Jackal vous répondra simplement que le vivant est comparable à une pomme. Personne n'attends que la pomme pourrisse, il vaut mieux la manger quand elle est au paroxysme de sa vie, là où elle a le meilleur gout. Jackal remplace simplement "pomme" par "autrui". En fin de compte, il ne fait qu'avancer la fatalité qui flotte au dessus de nos têtes.
Vous comprendrez donc aisément que le climat de guerre actuel lui sied parfaitement. Pour ce gentleman qui ne vit que pour tuer et engendrer le chaos, la Mort qui frappe chaque jours est un rayon de soleil de plus dans le ciel de sa réalité.
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• De la naissance à aujourd'hui •

Notre histoire commence dans une ruelle sombre, comme beaucoup d'histoires certes, mais celle-ci n'est pas comme les autres, premièrement, le mot "poney" ne sera écrit qu'une seule fois. Voilà. Mais intéressons-nous plutôt à Lui qui vient de naître. Il est seul, vraisemblablement ses parents l'ont abandonné ici, seul face à une mort certaine, et devant Ses yeux, la Mort se présente. Elle Lui tends les bras, mais alors que d'ordinaire l'âme du malheureux se serait séparée de son enveloppe, Il ressent en Lui une chaleur, la chaleur d'une mère qui aime son enfant. Pourquoi Lui ? Un jeune chiot frêle qui découvre le monde du fond de sa ruelle, et qui le déteste déjà. Est-ce à cela qu'il est voué ? Vivre dans l'ombre avec pour seule famille le spectre de la mort ? Soit. Le jeune chiot s'abandonne et s'endors, comme bercé par les bras de sa mère faucheuse...
Les jours passent, se ressemblent, les années défilent dans cette ruelle. Il apprends a marcher, Il s'habitue très vite à l'obscurité, Il apprends à être silencieux pour surprendre les rats, Il apprends à être mortel, pour se nourrir de ses derniers.
Bientôt les rats deviennent trop petits, trop lents, trop faciles. Il en veut plus. Il commence à chercher une proie plus grosse, un jouet plus inintéressant. Mais la ruelle est terriblement vide. Il se tourne vers la rue, les passants n'ont jamais prêter attention à Lui. Une belle bande de rats. Mais trop lents. Il doit trouver un moyen de les rendre plus rapides, quitte à mourir de faim, Il doit trouver un moyen de les rendre "intéressants".
Son cerveau tourne en accéléré, Il sait que quand les rats ont peur, ils courent...
Un jeune chiot s'amuse en marchant aux cotés de sa mère, il entend un sifflement provenant d'une ruelle. Le petit cliquetis qui résonne l'intrigue, il ne peut pas s’empêcher d'avancer vers la source de ce petit bruit. Sa mère ne le voit pas entrer dans les ombres.
Un cri strident retenti soudain. La mère se retourne, ne voit pas son enfant. Elle commence à avoir peur, son instinct maternel lui ordonne directement de rentrer dans cette ruelle d'où provient le cri.
Elle n'a pas l'habitude de l'obscurité, elle ne voit rien.
Dans la pénombre enfin elle distingue la silhouette de son fils. Il pleure, il se tient le ventre, à force de faire le casse-cou, il a finit par se blesser. Elle l'appelle. Son regard se fige quand son enfant tombe à genou, laissant tomber ses mains, et par la même occasion libérant la plaie béante qui va de son bas ventre jusqu'au milieu de sa poitrine, et de laquelle sortent apeurés trois rats couverts de sang.

Que feriez-vous ? Si votre fils était devenu une souricière vivante ? La mère opta pour l'option suivante : Elle couru vers son fils en hurlant, elle le prit dans ses bras, déjà la foule s'amasse devant la ruelle, mais personne ne se risque à pénétrer dans l'ombre. La mère de son coté continu son récital glaçant. Ses hurlements, mêlés de sanglots, ont un air de question.
Il s’énerve. Pourquoi ne court-elle pas ? Il hurle de rage.
Les cris de la mère sont stoppés net par le hurlement. Elle cherche, elle sonde l'obscurité. Elle ne sait pas ce qu'elle cherche, elle ne sait pas ce qu'elle veut trouver.  Elle cherche toujours, quand elle sent son fils se faire happer par les ombres. Vous avez déjà entendu le bruit d'une gorge qui se fait trancher ? La mère non plus, c'est pour ça qu'elle n'a pas compris tout de suite.
Elle à surement eu une vague idée de la situation quand la tête de son fils roula entre ses jambes.
Il s'énerve de plus belle, elle ne court toujours pas. Le coup de pied qu'Il lui décoche entraîne sa tête, et par suite logique le reste de son corps vers la rue.



Les passants attroupés devant la ruelle suivent du regard le corps qui vient d'en sortir. De l'incompréhension, puis la peur, puis les cris. Tout le monde s'enfuit dans tous les sens.
Il les voit courir, Il jubile maintenant. Mais Il ne mangera pas pour l'instant, Il sait qu'il doit partir car d'autres vont arriver. Des plus gros rats, plus dangereux. Il quitte ainsi la ruelle. Et disparait dans les ombres de la ville. Il sait maintenant comment joindre l'utile à l'agréable. Il sait maintenant qu'il peut jouer ET manger par la même occasion. Il se sent emplie de joie, l'infinité de possibilité qui s'offre à Lui lui donne le vertige.

Et tout ça ne fait que commencer...

Les années passent, Il affine son art. Son art ? Oui, Il tue. Mais ce n'est pas juste un tueur lambda, c'est sa façon orchestrale de tuer qui en fait un artiste. Il apprends à torturer avant de tuer. Il apprend à faire durée l'agonie de ses proies. Il étudie méticuleusement l'anatomie, pour savoir où frapper, où trancher, où écraser. Il sait très vite comment faire hurler, pleurer, faire s'évanouir les sujets de ses experiences. Il tombe même dans l'excés en s'approchant de près, très près, trop près, de la nécromancie. Au début Il sait seulement faire bouger les ombres, mais au fur et à mesure, Il apprend à les contrôler, Il les domines. La mort fait partie de Son quotidien.
Pour joindre encore plus l'utile à l'agréable, il devient chasseur de prime. Il tue, Il mange, et Il est payé pour ça ! Il devient célèbre dans ce millieu, on fait appel à Lui quand on veut être sur de ne pas échouer, ou qu'on veut faire passer un message que tout le monde comprendra.  
Son amour pour la nécromancie l’amena au point de non-retour, pour aller plus loin, Il lui fallait un catalyseur. Un artefact magique qui Lui permettrai d'augmenter son contrôle de l'ombre. Il avait fait fabriquer un gantelet, munie de griffes en métal, Il voulait le transformer en catalyseur en y liant des âmes. Ca, Il pouvait le faire, mais Il voulait accuser le coup, pourquoi simplement tuer des gens, et lier leurs âmes à son gantelet ? Trop facile. Il se dit qu'il fallait qu'Il trouve quelqu'un pour faire ça, corrompre une âme faible, lui faire commettre l'acte ultime, et en tirer bénéfice.

Un jour qu'Il faisait ce qu'Il sait faire le mieux, Il apperçu dans une ruelle une scène assez banale pour Lui, un chien, assez grand, assez gros, qui racketait un autre chien, une hache dans les mains. Banale situation me diriez-vous. Mais une idée germa dans Son esprit. Pourquoi ne pas se servir de ce cleb's ? Et si c'était lui la clé qui Lui ouvrirait les portes de la nécromancie ?
Il s'approcha des deux chiens, Il inspecta le gros, Il vit de suite que ce n'était pas un chien normal. Plutôt le genre de chien qui serait passé sous un chariot. A plusieurs reprises. Et par differents chariots. Les yeux vitreux, la bave aux lèvres, la langue pendue. Il connaissait bien ce genre de visage, un toxico. Son plan commencait à se créer dans Sa tête. Il s'approcha encore, l'animal le regarda, Il
sorti délicatement de sa poche un Sweet sweet doggy, la drogue en circulation dans les bas fonds de la ville. Le genre de drogue qui rends les chiens fous. Il avait vu juste, à la vue du biscuit, le clébard se figea, lachant doucement le col de sa victime. Il lui jeta la friandise aux pieds, la bête s'empressa de la bouffer.
Elle Le fixa ensuite, Il comprit que l'animal avait de la bouteille et n'était pas rassasié. Mais Il avait plus d'une corde à son arc. Il sorti de sa poche, un petit canard en plastique, du genre qui fait "POUIC-POUIC", et lui jeta à la figure, le chien devint fou à la vue du jouet. Il savait qu'Il l'avait désormais sous son joug. Il lui fit comprendre que tout ça, et bien plus, serait à lui, si ce dernier Lui apportait ce qu'Il voulait. Le cleb's bava en signe d'acquiesement. Il lui expliqua qu'il Lui fallait 5 corps frais, et qu'en échange, Il lui promit des montagnes de Sweet sweet Doggy et de jouets. Le chien sembla accepter le deal, étant donné la vitesse à laquelle il décapita la pauvre victime qui n'avait rien demandé à la base. Voilà déjà un sur cinq.
Son nouveau sbire parti vite Lui chercher les quatres suivants. Il revint quelques temps après, avec quatres cadavres entassés dans un sac. Rapide ET efficace ce truc.
Une fois les cinq corps alignés, Il en extirpa leurs âmes, et les lia au gantelet. Une âme par griffe. Il ne puit s'empecher de laisser sortir un rire sardonique venant du coeur. Enfin, Il passait le point de non retour, enfin, Il allait entrer dans un tout autre niveau de monstruosité. Le clébard devant ce spectacle se mit à rire et à baver frénétiquement.
Il lui expliqua que si ils travaillaient ensemble, il ne manquerait plus jamais de friandises. C'est tout ce qu'il fallut pour convaincre le monstre.
Le frais nécromancien, et son sbire tout neuf allaient vivre de nombreuses aventures, toutes plus sombres les unes que les autres.

Vous vous en doutez mon cher ami, Il, c'est moi, Jackal, pour vous servir, et le sbire, c'est lui, Doggy, pour me servir. Maintenant, j'espère avoir répondu à votre question, vous savez maintenant "pourquoi nous faisons ça". Maintenant si vous le voulez bien, reprenons là où nous nous sommes arreté.

Et la nuit, qui été redevenue silencieuse, est à nouveau déchirée par les cris de douleur d'une âme en peine, que l'on retrouvera quelques jours plus tard, et que l'on ajoutera à la longue liste des victimes de Jackal Kingston, le Nécromancien.

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▲ Derrière l'écran ▲

Prénom ou pseudo : Ludo
Âge du joueur : 20 ans.

Comment trouvez-vous Equestria Nations : Assez vouf
Des améliorations à apporter : Ca manque de croquettes.
Code du règlement : Praise Lulamoon.