Chun-Yan [FINIT]

Alezan brûlé, crins lavés, saddle arabian, ces quelques mots suffisent à définir notre séduisant Chun-Yan. Pourtant  ce serait une insulte à sa personne de s'arrêter là...

Chun-Yan, on ne peut pas dire qu'il soit beau, ni même moche d'ailleurs... La beauté est quelque chose de subjectif, de ce fait il sera de votre ressort de décidé si oui on non la nature l'a gâté. Cependant il est très rare que l'on puisse le mettre dans la case "moche" car notre jeune Yan' ne l'est simplement pas. Du moins, pour la majorité.
Il possède un corps légèrement efféminé, d'une couleur brune foncé presque noir, plus clair sur le ventre. Pas d'affolement, des signes distinctif restent là pour nous avertir qu'il est bien un mâle. Lorsque je dis qu'il est légèrement efféminé, c'est qu'il a un corps élancé et des membres fins, il n'est pas le plus viril des étalons de ce monde en sommes.
pourtant, il a un buste large, sur lequel trône une cicatrice couleur chair en forme de "x", son encolure est puissante et se termine par une tête à la mâchoire correctement façonnée. Son museau est ni trop gros, ni trop fin et sur celui-ci une liste blanche se dessine, en partant de son menton pour finir à la base de son toupet.
Sa crinière est bien fournis, épaisse et légèrement, très légèrement ondulée. Elle est faite d'un dégradé de beige et de blanc, ce que l'ont appelle des crins lavés. Tous ses crins sont regroupés du côté droit de son encolure grâce à un anneau d'or qui détermine le début d'une petite tresse qui elle même se finit par un autre anneau doré. Une mèche de son toupet tombe devant son œil gauche.
Ses yeux, deux grandes amandes faites d'or et de soleil. Parfois, ils peuvent avoir un reflet orangés.
Ses sabots sont tous gris, à l’exception d'un seul, beige, sur son membre antérieur droit. Celui-ci possède une balzane montant jusqu'au genou. Ses deux membres antérieurs arbre également une balzane, plus courte.
Son dos dessine une courbe sensuelle jusqu'à sa queue, celle-ci tout comme sa crinière est épaisse et claire. Trois anneaux l'attache.
Il porte sa cutie mark, un cœur pourfendu d'un clou noir dégoulinant de sang.
Il sera souvent vu avec des assortiment orientales ou asiatiques, toujours rouge et jaune.
Pour conclure, il porte constamment une vielle écharpe rapiécé rouge rayée jaune autour du cou.
Voilà ce qui définit Chun-Yan, ce jeune saddle arabian séducteur qui dégage naturellement une odeur de fleur.

Notre cher Chun-Yan, comment est-il dans sa tête ?...
Et bien, laisser moi vous présenter la magnifique personne qu'est Chun-Yan !

Yan est quelqu'un de séducteur, il adore séduire les jeunes ponettes, leurs prendre leurs cœurs pour le brisé en suite. Il est d’ailleurs plutôt doué dans ce domaine car il manie les mots avec brio, utilisant sa voix suave et douce pour berner les plus faible. Et nul n'est sans savoir que notre poney a l'esprit mal placé. Si vous pensez qu'avec lui vous allez vers une relation durable vous vous trompez, ce n'est pas cela qu'il cherche. Il est quelqu'un d'extrêmement pervers et ne le cache pas, bien au contraire. Alors méfiez vous.
Il est également un très bon manipulateur, il sait trouver les faiblesses des autres et les exploité à ses propres fins, il sait tellement bien analysé les autres qu'il oublis de se protéger lui même. Car oui, il est assez susceptible et les poneys les plus intelligent n'auront aucun mal à appuyer la où ça fait mal. D'autant plus que, si il arrive à cacher ces véritables attention, il ne parvint pas à masquer ses points sensibles.
Il peut paraître insensible, sans émotions, mais ce n'est qu'un masque. Bien sûr, tué de sang froid et faire souffrir les autres ne le dérange pas, l'amuse même, mais il est très sensible et lorsque ses émotions cris, il a dut mal à les faire taire.
Il voue une admiration sans borne au roi Sombra, il pourrait tué n'importe qui uniquement dans l'espoir que celui-ci le remarque, et même si Chun-Yan tiens énormément à sa personne il serait capable de mourir pour le roi Sombra.
Il se sent au dessus des autres uniquement car il sert son roi, il a l'impression d'avoir droit sur la vie et la mort des autres poneys uniquement car il se sent plus fort qu'eux. Pour lui, aucun vie n'a de valeur excepté celle de sa famille proche et de Sombra et si il doit tué pour parvenir à ses fins il n'hésitera pas un instant. Il éprouve d'ailleurs un grand plaisir de la souffrance des autres, il trouve même parfois que les tuer reste trop rapide, préférant les voir agonisé.
N'oublions pas qu'il est assez imbu de lui même, il se trouve exceptionnellement beau et intelligent, ce qui n'est pas forcément faux mais ce n'est que de l’auto persuasion car en réalité il a dut mal à s'aimer lui même. Alors il se cache même à lui même.
Malgré cette personnalité tout droit sortit d'un des pires méchants de Disney, Chun-Yan porte aussi certaine "qualités".
En tout premier lieu, il déteste, il ne supporte pas que l'on touche aux enfants, c'est inhumains pour lui. Et puis, sa famille est tout pour lui, il n'y a qu'avec elle qu'il s'autorise à faire tomber le masque car notre arabian reste un poney et parfois certains de ses crimes lui pèse sur la conscience, il est comme un enfant écrasant les fourmis pour s'amuser qui se rend compte par la suite qu'elles avaient elles aussi une conscience.
Voilà, Chun-Yan est quelqu'un de complexe, mais si l'on s’efforce de creuser un peu on pourrait y découvrir... Un peu... D'humanité ?....

Chun-Yan fait partie d'une dynastie de de la noblesse orientale, les Wang. Venu des terres lointaines de l'est ils se sont installés là où ils ont put il y près d'une centaine d'années.
Aujourd'hui, leurs dernier descendant est notre jeune saddle arabian, unique héritier de sa famille.

Sa naissance fut douloureuse pour tous dans le manoir Wang, la mère de Yan', malade et enceinte de jumeaux mis bas en avance. Beaucoup trop tôt pour elle car se fut un miracle qu'elle et l'un de ses fils ne survive. Malgré cela, la perte de son autre enfant fut une déchirure pour elle qui, après avoir frôlé la mort, était plus faible que jamais. Elle ne put nourrir son enfant seule et Chun-Yan fut confier à une nourrice où il coula des jours heureux. Ceci jusqu'à ses cinq ans.
Au jour de sa cinquième année, son père, poney musculeux et imposant, vint le chercher. Chun-Yan ne l'avait pas souvent vu, seulement de loin et fut intimidé par ce colosse qu'était Yang. Ni l'un, ni l'autre ne s’adressèrent la parole. Le jeune poney dit au revoir à sa famille d'adoption et suivit son père jusqu'au grand manoir. Il fut d'abord impressionné par les jardins, magnifique et remplis d'arbres et de fleurs. Paysage assez rare en vu de la terre où ils étaient. Puis, ses yeux virent le grand bâtiment dans lequel il allait habiter. C'était magnifique, les pierres étaient blanches, rayonnant au soleil, les milles et unes fenêtres étaient recouverte d'ornement divers, tous de couleur or.
Après avoir fait connaissance avec sa nouvelle maison, il rencontra le personnel fait de plusieurs poneys diverses. Tous semblait craintif à l'égard des deux arabians et aucuns ne parlait. Ce fut un peu plus tard que Chun-Yan appris qu'on leurs avait coupé la langue.
Il alla en suite à la rencontre de sa mère. Ce fut Yang qui entra dans la chambre parental en premier, il somma son fils de le suivre. Ce fut la première fois qu'il lui adressa la parole. Chun-yan s’exécuta, obéissant. Il découvrit allongée dans le lit sa mère, Saïda, qui ne s'était jamais vraiment remit de son accouchement douloureux. Elle lui adressa un regard doux et aimant, Yan se sentit immédiatement en confiance avec elle.
A partir de ce jour il vécu au manoir, il passa ses journées dans la bibliothèque familiale a étudier sans relâche dans l'indifférence de son père et sous le regard doux de sa mère.

A dix ans, son père vint de nouveau le chercher dans la bibliothèque. Il lui ordonna de le suivre, Chun-Yan obéit. Ils allèrent dans la cour, un majordome apporta au jeune poney une épée de bois, son père en prit une également et sans lui donner la moindre consigne ou explication il fonça sur son fils. Il le frappa de toute ses forces avec le morceau de bois, ayant pour seul mot d'excuse une fois cela fait "pars mes coups." Chun-Yan s'efforça de lui obéir du mieux qu'il put.

Le jeune poney n'était pas fondamentalement mauvais ou narcissique de nature, cependant il receva une éducation si dur et si peu de reconnaissance de la part de son père qu'il devint peu à peu arrogant. La docilité du personnel face à lui lui firent acquérir l'impression d'être puissant et d'année en année il devint de plus en plus expérimenté dans l'art du combat.
Son père ne se limitait pas à lui enseigné le combat brute, il lui enseigna aussi la nécromancie. Tradition que se perpétué de génération en génération.

A ses dix sept-ans il entra au service de Sombra en tant qu'espion, fier de sa condition et dépendant de la reconnaissance du roi il devint un soldat fidèle et soumis sans une once de révolte, ne vivant que pour servir son maître, prenant même plaisir au besogne les moins morales.
Il ne connu jamais l'amour, seulement l'affection que lui portait sa mère et la froideur de son entourage..