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 A m a r ö k ▬ Affraid they run, hungrily I follow.

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MessageSujet: A m a r ö k ▬ Affraid they run, hungrily I follow.    A m a r ö k ▬ Affraid they run, hungrily I follow.  EmptyMar 5 Jan - 14:39



▲ Bienvenue à Amarök ▲



• Informations de base •


NOM : Amarök.
Surnom : La mère blanche de la nuit.
Âge : Vingt-neuf ans.
Sexe : Femelle.
Race : Changeling.
Talent : La patience.
Métier : Seconde conseillère au trône et porte-parole du service espionnage et assassin du Changeling Swarm.

Faction : Changeling Swarm.
Classe : Voleuse.
Classe² : Necromancienne.
Armes :
▬ Dague d'assassin ;
▬ Épée courte.
Alignement : Neutre mauvaise.


• L'apparence est importante •


À la prononciation du prénom, ils se mirent tous à chuchoter entre eux. La Reine changeling venait, de son imposante voix grave appelée la seconde conseillère du Changeling Swarm. Il fallait toujours attendre très longtemps avant de ne serait-ce qu'entendre le claquement de ses sabots gris sur le sol des couloirs du château, pour la simple raison qu'elle n'aimait pas être proche des attroupements de gardes, même si ceux-ci avaient prit l'habitude de son apparence blême. Ils l'appellent d'ailleurs entre eux la « Mère Blanche » de la nuit ; celle qui attire le regard même sous les voiles sombres de la Princesse Luna. Puis petit à petit, on pouvait entendre un bruit au loin, distinguant très clairement deux paires de fers différents. L'un lourd, mais joyeux dû à sa rapidité ; et l'autre lent, aigüe et éreintant.

Ils pénétrèrent enfin dans la salle au trône et alors les gardes posèrent presque instinctivement leurs yeux vides de changelings sur la-dite conseillère. Malgré l'obscurité de la pièce il est facile de voir à quel point la jument est d'un teint affreusement blafard. Une honte pour sa race, faite de gris et soulignant la symétrie de leurs rangs. La Reine elle-même avait parlé d'une maladie puissante ayant ravagé la pauvre petite lors de son enfance pour empêcher la naissance de rumeurs au sein des quartiers. Malheureusement pour elles rien chez la changeling ne permettait un regard banal... Sa couleur pâle faisait en sorte qu'on ne regarde pas ses yeux qui, à l'inverse de la plupart de la race des insectes, se font d'un noir profond aux pupilles blanches. Un fin iris foncé s'y dessine, mais rien de bien remarquable. Ils ne font que ressortirent l'infâme peau écailleuse qu'elle doit porter sur son dos au quotidien. On ne fait même pas attention au collier de fourrure noir qu'elle porte autour du coup pour foncé son apparence. Les habitués n'y font presque plus attention et ordonnent aux nouveaux de tourner les yeux lorsqu'elle passe devant eux.

Alors qu'ils marchent en direction du siège où la Reine attends impatiemment, la conseillère ordonna d'un simple geste de menton l'arrêt de son vassal. Ils remarquèrent alors tous l'épaisse corne démesurée trônant au milieu de son front. Son aspect lourd et sa pointe se présentant face à l'interlocuteur impose le respect, mais surtout la crainte. Si elle était un cerf, elle serait probablement le mâle dominant et aurait sur ses épaules la protection des femelles. Mais il n'en ai rien face aux sublimes attributs de Chrysalis. D'ailleurs, les ailes dansant dans son dos sont d'une maigreur ridicule. La finesses de celles-ci l'empêchent de voler lors des vents trop violents ou d'une pluie trop puissante, ce qui la rend cible facile lors qu'elle se déplace seule.

|- Amarök.

|- Ma Reine, vous m'avez demandé.


Sa voix résonna dans la pièce, et les nouvelles recrues ne purent écoutés leurs maitres. Celle-ci, en présence la Matriarche, se faisait d'une souplesse accablante. L'intonation est d'habitude très mélancolique et tendrement monotone. Pas un son hautain, non, ni puissant ; mais quelque chose de bien étrange, comme une mélodie du soir que l'on chante sans articuler. Ou comme un poney ivre essayant tant bien que mal de communiquer. Peut-être à cause de ces deux crocs blancs se pointant sous sa lèvre supérieure ? Non, tous les changelings en possède et parlent plus que normalement. Ou peut-être sa langue, grisonnante ? Non, tout aussi normal.
Son épaisse queue aussi longue que celle de la Reine s'était posé à terre et avait ainsi l'aspect d'une rivière. Lisses, souples, aussi blancs que ses écailles, ils volent constamment en suivant les gestes et déplacements d'Amarök. Le haut de son crâne est couronné d'une tresse entourant ses oreilles qu'elle porte fièrement tel le diadème d'une Princesse.

|- Comment se porte les assassinats en cours ?

Un sourire se dessina sur ses babines palotes. Affreux, salement confiant, il en donne presque la nausée. Les expressions du visages sont quelque chose de quasiment inexistant pour la blanche, si bien que quand elle doit sourire ou exprimer de la joie ses traits se font houleux et se tordent pour former un rictus repoussant. Tout au contraire elle n'a pas besoin de bien froncer les sourcils pour montrer son mécontentement ; il est dit-on omniprésent.
À la fin de son monologue qu'elle eu prononcer avec toute la fierté qu'elle se devait de montrer à sa dirigeante, elle lui rappela a quel point elle était reconnaissante d'être permise de porter la parole des assassins du Royaume. Puis elle se releva sur ses fines pattes comparable a la grosseurs de jeunes arbres. Il était des plus difficiles de ne pas la qualifier d’anorexique, de malade, voir dire qu'elle est mourante. Son cocon gris ne cache malheureusement pas ses côtes qui sont bien visibles aux yeux de tout le monde, il est bon de savoir que son maigre cou est lui bien blottit sous son collier.

Faisant demi-tour sur elle-même après avoir gracieusement saluer sa gouvernante, la blafarde pris le chemin de la sortie accompagné de son acolyte changeling, trainant les crins de sa queue au sol. Comment font-ils pour rester aussi blancs, eux qui fouettent si souvent le sol... En fin de compte, se dirent les jeunes recrues, la Mère Blanche n'est pas si vilaine ; elle est même plutôt belle. Alors pourquoi cette pâleur la rend-t-elle si repoussante ?

Body:

Faces:

• Un caractère unique •


Il est propre à n'importe quel être vivant sur les terres d'Equestria de posséder ses propres envies, un ou plusieurs objectifs et surtout une situation qu'ils apprécient à appeler « stable ». Ces quelques rêves découlent de la recherche du bonheur, du désir, de la perfection.

Le jeune changeling avait l'habitude de l'observer lorsqu'elle s'atteler à répondre aux demandes du peloton assassin. Il aimait voir les différentes expressions que son visage prenait en parlant et surtout en motivant les troupes ; elles sont d'autant plus intéressantes qu'elles sont rares, c'est ce qui fait tout leur charme. Ragnarök eu le temps d'apprendre à la connaitre, il arrivait depuis peu à prédire ses réactions et ses humeurs folkloriques. Pourtant, il avait bien un aspect de la Mère Blanche qu'il n'avait jamais réussis à comprendre ; sa patience démesurée. C'est ce qu'on lis le plus souvent sur son visage, ça et l'ennui. Les deux font un mélange assez irritant pour la personne adverse qui ne s’efforce jamais trop de débiter un roman. Et c'est normal, car c'est le but recherché. Moins de détails vous donnez, plus vite le message est passé, plus vite Amarök peut passer à autre chose de plus important.

Il est faible de dire que lorsque vous lui parlez, vous avez l'impression de vous adresser à une personne sous emprise de drogues et autres stupéfiants. Elle donneras encore moins de détails que vous dans ses réponses, et n'en penseras pas plus non plus. Si vous arrivez à la faire plus parler, félicitations, c'est que vous avez réussis à attiser sa curiosité. Mais bon courage, car elle en possède peu... Il faudra réussir à creuser une carapace aussi épaisse et dur qu'un rocher. Ou alors il faudra la rendre folle, hystérique, jusqu'à lui donner l'envie de vous arracher la tête de ses propres crocs. Violente ? Non, vocabulairement agressive. Donc allez-y, creuser ; mais prenez vos précautions, elle est à prendre avec des pincettes si vous tenez à votre estime personnelle.

C'est de là que viens son aptitude à diriger les assassinats. Un travail vite fait, bien fait, sans éclaboussures. Son calme et sa sérénité naturelle combinés à sa patience sont une arme fatale contre les petits hargneux refusant d’obéir aux protocoles. Ce même protocole auquel elle obéit ardument. Car oui, Amarök a foi en sa prêtresse et tient à diriger au mieux et comme celle-ci l'entends ses armées. Si quelque chose ne vas pas, elle sait que sa Reine en sera malade de rage ; et a qui la faute ? A elle. La changeling blanche en prendra donc toute les conséquences, vouant une croyance démesurée à Chrysalis. Cependant, les assassins n'ont qu'à bien se tenir, car sa vengeance sera terrible.

Il sera difficile à Ragnarök de vous expliquez comment Amarök réagit en dehors de son travail. Simplement car sa vie se résume à son celui-ci... Avoir des amis est bien futile, une famille encore plus. A quoi bon penser à sois-même quand le monde est en guerre et que vous possédez une place importante dans l'une des grandes nations combattant pour la victoire ? Elle serait bien égoïste d'envisager de prendre soin d'elle un dimanche, ou d'aller au marché un lundi. Ses seules sorties se résument à espionner et participer aux combats des troupes qu'elle dirige, et ça lui suffit amplement ! Il en faut peu pour la rendre heureuse, elle se suffit d'un rien ; et généralement la source de cet infime bonheur se résume à son quotidien de guerrière haut gradé. Il se demande parfois encore comment la Mère Blanche avait bien pu choisir quelqu'un comme lui en tant qu'aide aux conseils ; il n'était pas plus intelligent que ça. Peut-être était-ce pour faire office de sourire ? De bôme au cœur ? Il ne le saura certainement jamais, il sait simplement qu'en tant que souffre douleur et bouquet misère, il fait très bien son travail.



• De la naissance à aujourd'hui •




« Amarök, tell me a story.
They once was a tall changeling, with white hair, who was pretty lonely.
Why was it lonely ?
All things must need this woman. So, they shunned her.
Did she chase them all ?
She took an axe, and split herself in two.
So she would always have a friend ?
So she would always have a friend. »




Ainsi soit-il, alors. Ainsi demeurera la changeling, aussi blafarde que le ciel hivernal, aussi pâle que la fourrure de l’Alicorne du soleil ; que la lune de sa sœur. Ainsi sera son future, blottit dans l’ombre, seule comme elle le souhaite désormais.

Il n’avait jamais était prédit que cet enfant, de riche noblesse et promise à un avenir saint, puisse un jour emprunter le chemin taché de rouge de la guerre. Que c’était-il passé durant ces années d’acharnement contre maladie et insultes, pour qu’elle puisse tourner le dos à l’or et l’argent. Qu’avaient-ils fait, pour perdre ainsi le nourrisson qu’ils avaient tant chéri au-dessus de son landau ? Souriante, joviale, elle était d’une pureté sans précédant. Une fierté, cette petite changeling à la crinière blanche. Une aubaine, pour une famille ayant besoin de renom. Une beauté.

Amarök, tel fut le nom qu’ils lui donnèrent à la naissance ; laissant celui-ci donner un sens à ses crins de neige et ses yeux transperçant les vôtres. Le visage d’un nourrisson avait peu de fois attiré les éloges du peuple aristocrate de la Reine Chrysalis. Un pareil enfant ne pouvait que donner plus de gloire à la famille qui venait de grimper les marches de la popularité sans hésiter une seule seconde. La guerre ? Très peu pour eux, vivre dans le luxe sera son présent et son destin.

Elle faisait la fierté de ses parents, une brillante changeling qui savait se cultiver correctement. Elle avait du répondant, et savait se taire et obéir quand il le fallait à un âge où vous ne saviez même pas encore vos chiffres correctement. Elle faisait déjà chavirer des cœurs lors de son adolescence, prête à offrir à sa famille une descendance parfaite. Car il le fallait, il fallait que ses enfants soient aussi beaux qu’elle, aussi présentables et intelligents. La noblesse le voulait plus que tout ; c’était une nécessité pour obtenir les faveurs du peuple sans pour autant faire partit de la cours royale ou des connaissances proches de la Matriarche. Et ils étaient certains qu’elle allait parvenir à acquérir ce futur parfait ou elle ne manquerait de rien. Jamais.

Mère de jalousie et parfaite détentrice de connaissances et de charisme, elle fut investigatrice de plusieurs actions envers le peuple, et souffla même certains mots aux gardes, remontant au trône afin de rendre le pays meilleur. La cours royale ne la connaissait pas, ils n’avaient vent d’elle, mais l’aristocratie n’avait d’yeux que pour Amarök. Au meilleur de sa forme tous les jours, voulant toucher, même du bout du sabot le château de la Reine ; et pouvoir monter au plus haut qu’elle le pouvait, tel était son but. Et elle faisait tout en son pouvoir pour y arriver, quitte à s’éloigner de la réalité.

Cependant, le plafond de sa chambre avait une allure bien morne. Les jours se suivaient et revenaient au galop dans un cercle vicieux d’attente et de patience ; ne sachant pas ce qu’elle allait devenir maintenant. Qu’avait-elle fait, ô Celestia, qu’avait-elle fait pour que la pâleur de l’écume de Baltimare se reflète sur son gris parfait ? Comment pouvait-elle désormais, ravagé par la maladie obtenir la grâce du palais ? Elle ne peut maintenant que porter la honte que lui offre cette couleur au sein du cocoon, accablé de questions et parfois même d’insultes. Bien loin elle se porte la jalousie que les nobles lui portaient autrefois, profitant de son sort pour monter les paliers qu’elle venait de descendre en un éclair, laissant tristement sa place. Enfermé à jamais dans la crainte, apportant cette même honte à ses parents si fiers voyant leurs rêves égoïstes anéanties par leur fille bien aimé. Rien que le froid. La solitude. La peur. Le blanc. La dépigmentation totale. Sa peau rejoignit ainsi ses crins, laissant pour seul touche de noir ses yeux sombres comme un voile de nuit. Ainsi, naquit la Mère Blanche. Puisse Chrysalis lui pardonnait son échec ; la volonté de victoire l’avait aveuglé, la réalité l’avait frappé de plein fouet et piétiner au sol comme un vulgaire pissenlit. La maladie atteignit son paroxysme, et stoppa net la croissance déjà retardé de ses ailes bloquées à une taille moyenne lui empêchant de parcourir de grande distance. Sa gloire coula sa dernière larme. Ainsi soit-il, si cela est son destin.

La jalousie fait bien des victimes, et Amarök s’éteignit auprès de la gente populaire aussi bien que le feu se tait sous le joug de l’eau. Elle se demandait même certaines fois si son ombre voulait toujours d’elle comme pilier… La maladie avait fait d’elle un monstre. Mais, ne faut-il pas parfois cet élément perturbateur dans le déroulement d’une histoire pour que puisse le soleil brillé à nouveau ? La noblesse avait connu en quelques jours un mouvement si imposant que même le château en eu ouïe dire. « Mère, une aristocrate vient d’accabler son rang de honte. Dit-on que, par la maladie, la jeune paria est devenu d’un blanc neige. On ne voit plus qu’elle, lorsqu’elle veut bien sortir de son trou. ».

La douleur était désormais maîtresse d’elle. Renfermant rancœur et désir de vengeance, prenant petit à petit la place de la honte et de l’humiliation. Pénétrant au palais, prenant place dans les troupes d’assassin tel qu’il lui fut ordonner ; sa vie de luxe ne fut plus qu’un lointain souvenir. A l’instar de posséder une carapace étrangère à la morphologie changeling, Amarök se vit grandir d’une traite, faisant facilement une tête de plus que la moyenne ; lui donnant malgré sa maigreur infâme une taille imposante. Cette puissance n’était pourtant pas acquise, toujours objets d’insultes par ses compagnons lors de ses nombreux entrainements. Comme il est facile de dénigrer la différence.

Ses traits se firent plus durs. Son acharnement dépassa l’entendement. Une furry dont la rancœur était devenu la puissance ; faisant s’abattre sur ses proies une lame vengeresse. Si son corps n’est pas de gris, alors sa lame sera de rouge pourpre. Jamais il n’avait été vu au sein des troupes un esprit aussi perturbé de noir que celui de la changeling, ne faisant aucune grâce à ses cibles. Et une nouvelle fois, comme un appel à l’aide, comme une demande précise ; la Reine eu vent de ses exploits. Le trône était à porté de sabots.

Ainsi fut décidé, par le biais d’un ordre haut placé, qu’Amarök soit promus au rang d’assassin royal. Une nouvelle unique, un cadeau des Dieux ; mais aucune fierté à partager. La blanche changeling cultivé, brillante, belle n’était plus ; elle était devenue une guerrière avide de sang dont les parents ne voulaient plus entendre parler. Et a quoi bon ? Elle ne se plaisait plus que dans les combats et l’ombre où elle se cachait loin des regards accusateurs. Peu importe, sa requête avait était entendu. La malade avait, désormais, un nouveau but. Celui de tuer, non pas pour sa gloire, mais pour celui de sa Reine. Et Celestia sait que s’il fallait donner sa vie pour elle, elle le ferait avec une confiance aveugle.
Elle ne voyait plus que par la fureur de vaincre. Les autres Royaumes ne sont que broutilles, des vermines ; ces mêmes personnes qui l’avaient rejetés. Tous sont dans le même panier. Tous sont à éliminer, un par un. La Mère Blanche, très vite envahit par un cœur de pierre aussi dur que l’obsidienne, fut ainsi dépendante de son travail.

Quant elle fut belle, elle attisait la jalousie et l’envie. Maintenant, de son haut grade de conseillère au trône par ordre de la Reine une nouvelle fois, elle aspirait la crainte et l’angoisse. Pourtant, peu étaient ceux qui avaient eu la chance dirons-nous de ne serait-ce que l’apercevoir. Ils craignaient son simple nom, et osaient à peine ouvrir leurs yeux devant elle quand elle s’attelait à rejoindre sa Matriarche pour lui faire un rapport. Peu maintenant sont ceux qui osent l’affubler d’un nom d’oiseau quelconque, les représailles étant toujours au beau fixe. Être proche du Dirigeant aide, allons-dire. Elle se plaisait à saluer quelques connaissances, tel la descendante Nymphalis et quelques gardes royaux ; ceux qui comprenaient la faiblesse de la changeling, mais n’avaient pourtant aucune pitié pour elle et la considérer comme une vaillante combattante méritant son dû et le respect des siens.

Elle fut affublé d'un jeune garde, disait-on qu'il lui serait utile lors de messages à faire passer ou quand elle aurait besoin d'un visage. Un visage ? A quoi bon, qui a besoin de savoir sourire en des temps pareils. Celui-ci se nommait Ragnarök ; et devint très vite la bonne humeur qu'Amarök n'avait pas. Et son souffre-douleur, mais ça c'est une autre histoire aussi longue que la sienne.

Et ainsi fut gravit les échelons qu’elle avait autrefois descendu, prenant une toute autre route que celles que lui avait affublé ses parents, laissant le nourrisson souriant qu’elle était, devenir la machine de maintenant. Son quotidien est désormais celui qu'elle apprécie le plus, travaillant sous les ordres de la Reine, affublant des missions sordides aux assassins du pays ; se cachant dans l'ombre et ne se montrant que très rarement sous sa forme originelle.


Ragnarök:





▲ Derrière l'écran ▲


Prénom ou pseudo : Kitty / Millaby / Agneau.
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Comment trouvez-vous Equestria Nations : Violet.
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Code du règlement :

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Karl Tirecorde
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MessageSujet: Re: A m a r ö k ▬ Affraid they run, hungrily I follow.    A m a r ö k ▬ Affraid they run, hungrily I follow.  EmptyMar 5 Jan - 17:53

Ce sera un lvl 10 pour moi.

Rien à redire, facile à lire, prenante, et un petit lapsus qui m'a bien fait rire
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MessageSujet: Re: A m a r ö k ▬ Affraid they run, hungrily I follow.    A m a r ö k ▬ Affraid they run, hungrily I follow.  EmptyMar 5 Jan - 18:00

J'approuve totalement, c'est même original ainsi rédigé !
Un bon lvl 10 donc, bon jeu !
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MessageSujet: Re: A m a r ö k ▬ Affraid they run, hungrily I follow.    A m a r ö k ▬ Affraid they run, hungrily I follow.  Empty

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