[PNJ] La curieuse Célest [Terminé]

Célest est une petite pouliche de taille normal. Son pelage est de couleur jaune vive, sa crinière et sa queue ont deux nuances de rouge, une plus foncée que l'autre. Ses yeux sont d'un bleu azur et sur son museau elle a de petites et mignonnes taches de rousseur. Pour le moment, elle n'a pas encore sa cuti mark mais, tout semble croire que son talent pourrait être lié soit à la magie ou alors à la littérature. Après physiquement parlant, elle est ni trop maigre ni trop grosse, elle a une corpulence qui est dans la norme pour une pouliche de son âge. Seulement elle est déborde d'énergies. Son excentricité la pousse souvent à se dégourdir les sabots quand l'occasion se présente. Toujours le sourire aux lèvres, parfois on a même l'impression que sa bonne humeur est très communicatif. Mais combien même elle est énergique comme n'importe quel poneys elle se repose et le plus souvent elle s'endort tranquillement la tête sur un livre.

Pour ce qui est du caractère, Célest est une sacré curieuse, elle a besoin de comprendre l'inconnue. Sinon en dehors de ça, c'est une petite pouliche douce et adorable, il est rare de la voir énervée et contrairement à son père, elle exprime grandement ses émotions. On peut même dire sans trop de difficultés qu'elle est très émotive. Voir même très sensible. Néanmoins, elle distingue bien une personne qui blague et une personne qui pense ce qu'elle dit.
Malgré qu'elle soit assez extravertie, quand elle doit faire quelques choses comme lire, étudier pour l'école, écouter, elle reste concentré et en devient sérieuse. Sinon ses activités les plus fréquents sont la lecture, s'amuser avec les autres poneys.Elle est aussi très sociable, à chaque fois que l'occasion se présente elle ne peut pas s'empêcher d'interagir avec n'importe quel poneys. Le plus souvent c'est pour poser des questions quand elle voit quelque chose qu'elle ne connait pas. Mais une chose qui la démarque des autres poneys, c'est qu'elle peut traduire les sentiments cachés de son père. Elle est donc aussi par conséquent l'interprète qui fait en sorte d'éviter les malentendus entre les autres poneys et son père. Plus tard elle aimerait être écrivain comme son père.

Je suis née à Canterlot et j'ai grandi jusqu'à mes huit ans dans une famille de nobles. A ma naissance, mes grands parents n'arrêtaient pas de se vanter en disant que j'aurais un grand avenir et qu'ils reposaient tout leurs espoirs en moi... Enfin ça je ne l'ai compris que plus tard. Durant des années mon père me forçait à respecter à la lettre les gestes et les coutumes des nobles. Heureusement que ma mère n'était pas comme tous ces autres nobles. Elle était belle et elle était restée une licorne simple. Je me souviens que pour lui ressembler, je n'arrêtais pas de l'imiter, ce qui la faisait rire d'ailleurs.

Un jour, je me promenais dans notre demeure et en entrant dans la chambre de ma mère j'avais trouvée un livre. Le poney qui était soit disant mon père, me disait que la littérature n'était qu'une perte de temps. Si c'était si inutile alors pourquoi ma mère en avait-elle autant? Je voulais savoir pourquoi maman aimait tant les livres et à ma grande surprise rien qu'à la fin du premier chapitre j'étais totalement submergé par l'histoire. Jamais je n'ai ressentie un tel plaisir. Au bout de quelques semaines ma mère me surprend à lire un de ses livres. Je commençais à craindre sa colère, du fait que je n'ai pas écouté mon "père". C'est alors qu'elle me prie dans ses bras et me gratifia dans grand sourire. Elle me disait qu'elle savait que je finirais par enter dans sa chambre un jour. Alors depuis, après chaque cours ennuyeux sur les "bienfaits" de la noblesse, j'allais voir ma mère pour qu'elle me raconte des histoires j'étais aux anges.

Un jour, en lisant un livre, j'ai remarqué que maman avait plusieurs livres d'un même auteur... Melvius. J'en avais conclu que c'était son auteur préféré, enfin c'est ce que je me disais avant que ma mère me révéla que Melvius était mon "oncle", bizarrement j'ai sentie comme retenue quand elle m'avoue cela. Je lui ai donc demandé si je pouvais le rencontrer, elle accepta avec un grand sourire mais, elle me demanda d'y aller en cachette car, il semblerait que mon "Oncle" et mon "Père" ne s'apprécie pas vraiment.

Je me rendis donc  à l'adresse indiquée par maman. C'est alors que je me retrouvais face à face avec une belle maison avec un jardin qui semblait être paisible et où on aimerait bien jouer. J'ai donc pris mon courage à deux sabots et frappa à la porte. La porte s'ouvrit laissant apparaitre un grand Licorne massif, ce Licorne avait une longue crinière ondulé noir est gris, une barbe et il avait également les yeux rouges mais, ce qui ma interpellé c'était son visage. Il n'exprimait aucune émotion et pourtant j'avais la sensation qu'en me regardant qu'il était ravi de me voir. Il me reconnaissait tout de suite et m'invita à entrer chez lui. J'étais tellement impatiente de parler avec lui et d'avoir une discussion avec une personne qui aime la lecture!

L'intérieur de sa maison était bien espacé, tout était propre mais, bizarrement je ne voyais aucun domestique. Je lui ai donc demandé pourquoi? "Je n'ai pas besoin de domestique pour me faire à manger ou faire le ménage, je peux très bien le faire tout seul." C'est qu'il me répondit, j'étais alors étonné de le savoir vivre seul dans une aussi grande maison. Puis viens alors le moment où nous nous installions dans sa bibliothèque. Tous les murs étaient remplis de livres, je n'avais jamais vu ça, même maman n'en avait pas autant. Il me servi une tasse de thé et nous avions pu commencer à parler. Nous avions tellement parlé que nous n'avions pas fait attention à l'heure. J'ai dû m'en aller mais, mon oncle m'invita à revenir autant de fois que j'en aurais envie. J'étais heureuse d'entendre ces paroles.

Plusieurs semaines s'écoulèrent et je continuais à passer mes journées chez mon "oncle". Seulement, mon "père" rentra encore une fois ivre et commença à insulter ma mère. J'avais peur. Il y avait des rumeurs comme quoi il aimait trainer dans des lieux louches avec d'autres femmes...

Plus tard maman décida que nous devrions quitter la maison sans "papa" et nous réfugier chez "tonton". Arrivant chez lui elle se blottie dans ses bras et commença à pleurer. Je ne comprenais rien à tout cela et comme ça ne suffisait pas j'ai appris alors que la personne qui était soit disant mon "père" ne l'était pas mais qu'il s'agissait en réalité de Melvius. Sous le choque je leur ai demandé pourquoi, pourquoi avoir caché un tel secret et pourquoi maman à tel épouser cet homme? Ils m'expliquèrent tout dans les moindres détails et alors tout de suite j'ai commencé à pleurer, mais je n'étais pas triste au contraire j'étais même heureuse de savoir que Melvius était mon père et alors nous nous réconfortons tous les trois... Mais notre joie de fut que de courtes durées. En effet mon désormais oncle nous avait retrouvé.

Il était très énervé de connaitre la vérité sur mes origines alors il commença à attaquer papa dans la rue. Maman m'avait dit de rester à la maison mais, je lui ai désobéi... C'est alors que je vis maman se faire frapper violemment par un sort de mon oncle. Voyons ce désastre, papa se jeta sur lui et commença à lui hurler dessus, bizarrement il ne devrait pas pouvoir exprimer quoi que ce soit mais... Je pouvais voir toute la haine sortir du visage de celui-ci. Peut après les gardes sont arrivés. Papa tomba sur le sol épuisé.

J'ai eu droit à des questions de la part des gardes. Je leur ai donc tout dit, l'histoire de mon père et ma mère, la colère de mon oncle, la mort de ma mère par celui-ci. Le jugement était sans appel. Mon oncle fut enfermé pour dégradation de la vois publique, agression et meurtre. Quant à mon père il parla un avec mes grands parents et une fois terminé, papy et mamie étaient en collèrent.

Le lendemain mon père m'annonça que nous allions déménager à Ponyville. Il m'affirma que c'était une ville paisible où les habitants sont aimables et gentils et qu'ils étaient loin de tout ce qui est bourgeoisie et noblesses seulement des poneys simples comme l'était maman. J'étais heureuse d'apprendre ça.